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La pensée contre-révolutionnaire et sa postérité

Publié le 01/12/2011

Extrait du document

I.                   Edmond Burke  (1729-1797) entre libéralisme conservateur et conservatisme.

·       la critique des droits de l’homme

·       la réhabilité du préjugé

·       La querelle entre Burke et Paine.

 

Il va être le premier en étant célèbre a faire un ouvrage contre la révolution françaises : les réflexions sur la révolutionne en France  Publié en 1790. 

«  Pour B urke : la liberté, pour ê tre solide doit s’appuyer sur la tradition.

Burke dit qu ’il faut éco uter les générations a ntérieures.

 Pour P aine : la liberté doit se repo ser sur une rupture avec les traditions.

P aine est un partisan de la révolution française .

Ils ont des qualité s différentes :  Burke voit très bien de prêt mais pas très bien d e loin.

 Paine, c’est le contraire , il est persuadé que les f emmes voteront et qu ’on fera l’équivalence des assurances maladies.

Pain e tout a son enthousiasme pour la révolution française, il devient français et côtoie les Girondins (groupe politique de la révolution française qui fut majoritaire a l’assemblée législative, il sont pour la souveraineté/républicains, en face des montagnards : groupe politique de la révolution française favorable à la république.).

 Pain e est sauvé par la chute de Robespierre.

(Représentant de l’extrême gauche démocratique à l’occasion d’une loi électorale censitaire contre laquelle il est l’un des seuls députés de la Constituante à s’élever.

Au début de 1791, au club des Jacobins, Robespierre est aussi l’un des premiers à se déclarer favorable au suffrage universel.

Adversaire de la déclaration de guerre en 1792, il s’oppose aux Girondins et passe au premier rang de la scène politique avec la chute du roi, le 10 août 1792.

Elu député à la Convention, il r éclame la déchéance de Louis XVI et devient l’un des chefs de file des Montagnards.

Appuyé par les sans -culottes parisiens, il est alors l’un des principaux artisans de la chute des Giron dins (juin 1793 )).

 Burke est un protestant et libérale.

II.

Maistre (1753 -1821) et Bonald (1754 -1840) *ce qu’ils retiennent de Burke *l’élément théocratique *leurs différences : un ultramontain, un gallican.

 Maistre - considérati ons sur la révolution française -1796. »

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