La Règle des dix ans»
Publié le 27/02/2008
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Restrictions budgétaires de l'entre-deux-guerres. Après l'armistice de 1918, les Britanniques se demandèrent comment ils pourraient faire face à l'accroissement des dépenses militaires avec des ressources-désormais limitées. En 1919, les dépenses excédèrent les recettes de 24%. Le ministre des Finances pria tout d'abord les trois armes de réduire leur budget. Mais, pour rendre acceptable une telle rigueur, il fallut instaurer des règles et fixer des principes de calculs. Le 11 août 1919, au cours d'une réunion de la commission financière du Cabinet de Guerre, on suggéra aux trois armes d'établir leurs prévisions en considérant qu'au cours de la prochaine décennie, le monde ne connaîtrait pas de conflit généralisé.
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- MEURICE Jean-Michel P énélope IV Né à Lille, 1938 Les Pénélopes, série d e q uatre immenses toiles, " travail s ans fin e t q ui s e d éfaisait a u f ur e t à mesure" s ont p eintes b ord à b ord d e l ignes colorées tirées à la règle e t a u p inceau.
- «Règle des dix ans» (seconde guerre mondiale).
- Sainte-Beuve a écrit : « On a dit, et j'ai moi-même écrit quelque part, que les Jésuites ne firent de réponse directe et en règle aux Provinciales qu'après quarante ans et par la plume du P. Daniel. En parlant ainsi on omet et l'on oublie cette longue et continuelle réfutation qu'en fit Bourdaloue dans sa prédication publique. » (Causeries du Lundi, t. IX, p. 232). Feugère, de son côté, a déclaré : « Bourdaloue, venu trente ans plus tôt, rendait les Provinciales impossibles. » (Bourdal
- Le Théâtre Classique et la règle de trois unités.
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