1er passage : Acte1, scène 1 : l'éloge du tabac du début à '' Reprenons un peu notre discours'' (DOM JUAN DE MOLIÈRE)

« évidence, caractère provocateur de Don Juan (la démesure qui n'est pas dans la ligne droite de la noblesse) II- UN DISCOURS BURLESQUE • Preuve que l'on est toujours dans la comédie : discours burlesque, prise de paroles de Sganar elle qui est un valet • Plusieurs procédés comiques apportés par Sganarelle - l'éloge paradoxal (le fait de faire qqch que l'on ne maitrise pas) - la parodie burlesque (ce moqué, imiter qqch qui va crée un comique) .

Il veut parler comme son maitre, c’est ridicule car un valet n'a pas un tel langage.

- la comparaison à Aristote “ Quoi que puisse dire Aristote et tout la philosophie, il n'est rien d'égal au tabac “ (v2) alors qu'Aristote vivait pendant l'Anquité = anachronisme - hyperbole : « rien n’est égal au tabac », ridicule du personnage c’est un valet ; cela provoque du rire car Sganarelle est sur de lui, il est prétentieux .

- Il utilise des procèdes rhétoriques qu'il ne sait pas utiliser, il employé de grandes paroles sur un sujet comme le tabac = idiot, cela ne veut rien dire.

IL répond avec une question rhétorique (fausse question pour convaincre dont on connait déjà la réponse) - la portée morale des termes ph ilosophiques “ honnêtes gens “ ( v3 ) , “digne “ ( v 4 ) , “vertu “( v6 ) qu'il pense pouvoir associé au tabac comme si le tabac pouvait apporter une valeur morale Il essaye donc de parler comme son maitre III – UNE ANNONCE DEGUISEE • L'éloge du tabac ann once la thématique du libertinage : Molière veut montrer que derrière une volonté de rire se cache une volonté de dénoncer les dysfonctionnements de la société de son époque.

Don Juan. »