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à une passante

Publié le 01/07/2014

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Lecture analytique : À une passante I/Le choc de la rencontre : a) le cadre :Univers urbain -> lexique de la rue «  la rue » + titre « à une passante » inconnue croisée dans la rueLieu extérieur sans intimitéInhospitalier «  assourdissante » animalisation de la rue «  autour de moi hurlait »( + un poète cerné) Impression de vacarme -> allitération en R «  La rue assourdissante autour de moi hurlait »Le poète semble isolé (surement à une terrasse de café) « moi » « moi,je », marginalit&ea...

« I/Le choc de la rencontre : a) le cadre : Univers urbain -> lexique de la rue « la rue » + titre « à une passante » inconnue croisée dans la rue Lieu extérieur sans intimité Inhospitalier « assourdissante » animalisation de la rue « autour de moi hurlait »( + un poète cerné) Impression de vacarme -> allitération en R « La rue assourdissante autour de moi hurlait » Le poète semble isolé (surement à une terrasse de café) « moi » « moi,je », marginalité+ « extravagant »le poète est seul. Le SPLEEN baudelairien, le poète est figé alors que la femme représente la mobilité b) un coup de foudre : -> « éclair », rencontre soudaine et inattendu v.9 opposition lumière et obscurité « la nuit » = obscurité total et « éclair » =lumière intense.

Lié par « puis » très bref « ..

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» aveuglement attente ne sait plus quoi dire « ! » intensité éphémère « éclair » bref, « fugitive » le tiret isole les deux hémistiche Violence de cette situation, « crispé » « ouragan » « hurlait », état du poète, après la rencontre II/ La vision du poète : a) la beauté idéale : éloge de la femme : « longue, mince » « majestueuse » « fastueuse » analogie avec une œuvre d’art « sa jambe de statue » Grace -> v.2 , apparition de la femme Légèreté de la femme « longue » « balançant » « soulevant » (allitération en L ) b) une femme mystérieuse : une inconnue, désignée juste par son action, anonymat, « une femme » le poète appuie sur cette anonymat « j’ignore » « tu ne sais » Il lui suppose une douleur « en grand deuil » « douleur majestueuse »contraste vêtement de deuil et légèreté de la démarche.

La métaphore « son œil, ciel livide » exprime aussi la douleur. Dualité : opposition légéreté et douleur antithèse « la douceur qui fascine et le plaisir qui tue » III/ l’échec de la rencontre : a) une communication impossible : la passante, ne reste pas, mouvement déplacement, oposé a la fixité du poète « crispé » « passa » participe passé, l’action est achevé. v.9 et v.13 la fuite enjambement v.9 et v.10 -> rapidité lexique douleur et folie b) Le spleen : la mort, climat tragique, deuil de la femme folie du poète communion existence « o toi que j’eusse aimé, o toi qui le savais » il y croyait, poète inapte au bonheur chiasme v.13 « j’ignore ou tu fuis, tu ne sais où je vais » décroisé pas compatible. »

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