Devoir de Philosophie

Analyse

Publié le 21/04/2020

Extrait du document

Matière : Langue française Le Dernier jour d’un condamné. Victor Hugo Public cible : Elèves de 1ère Année du cycle qualifiant (Toutes branches confondues) Lecture analytique du chapitre 13 Lisez le chapitre 13 XIII Répondez aux questions suivantes 1. D'après votre lecture de l'œuvre dans son texte intégral, recopiez les deux propositions qui sont vraies : - Victor Hugo est un écrivain du XIXème siècle. - Le Dernier jour d'un condamné est un roman autobiographique. - Le narrateur est père d'une famille nombreuse. - Le Dernier jour d'un condamné est un roman à thèse. 2. Parmi les personnages suivants, trois ne sont pas cités dans le roman. Lesquels ? Le fils du condamné, L'avocat, Le bourreau, Le complice, Le geôlier, Le prêtre, Les pompiers (Mettre une virgule entre les trois) 3. Parmi les noms des lieux suivants, trois sont cités dans le roman. Lesquels ? La bastille, L'Hôtel de Ville, Les Champs-Elysées, La place de Grève, Le musée du Louvre, La Conciergerie (Mettre une virgule entre les trois lieux) 4. Relevez dans le second paragraphe (de "Il était à peine jour ... jusqu'à ....chanter, courir danser.") cinq mots appartenant au champ lexical de l'incarcération. (Dans l'ordre et ne pas relever les mots : Verrous, cadenas) 5. Quelle « fête » prépare-t-on dans la prison ? 6. À quel moment de la journée se déroule-t-elle ? 7. Relevez dans le texte un mot qui montre que le narrateur n'apprécie pas cette « fête ». (Un seul mot) 8. La description du bâtiment dans le dernier paragraphe est : - Neutre, - Valorisante, Dévalorisante. Recopiez la bonne proposition. 9. Relevez deux adjectifs pour justifier votre choix. (Mettre une virgule entre les deux adjectifs) 10. « Tout Bicêtre semblait rire. » La figure de style dans cet énoncé est : - Une comparaison, - Une anaphore, - Une métonymie, - Une gradation, - Un euphémisme. Recopiez la bonne réponse. 11. « … pressés les uns au-dessus des autres, comme les pierres d'un mur » La figure de style dans cet énoncé est : - Une comparaison, - Une anaphore, - Une métonymie, - Une gradation, - Un euphémisme. Recopiez la bonne réponse. 12. « il sortit et referma sur moi serrures, cadenas et verrous. » La figure de style dans cet énoncé est : - Une comparaison, - Une anaphore, - Une métonymie, - Une gradation, Un euphémisme. Recopiez la bonne réponse. 13. Selon vous, l'événement raconté dans le texte est-il amusant ? Répondez aux questions suivantes : ch13 1. Le narrateur parle d’une chose hideuse dont il était le spectateur, de quel spectacle parle2. 3. 4. 5. t-il ? Qu’est ce qui montre que c’était un jour exceptionnel à Bicêtre ? « Il était à peine jour…danser » s’agit-il d’un passage narratif ou descriptif ? Comment le geôlier présente-t-il le ferrage des forçats ? Où le geôlier conduisit-...

« 6.

En quoi la nouvelle cellule semble luxueuse par rap port au cachot du narrateur ? 7.

A qui le geôlier compare -t-il le narrateur ? Relevez dans le texte ce qui justifie cette comparaison. 8.

Victor Hugo semble construire cette scène à l’image d’une pièce de théâtre, complétez le tableau suivant pour mettre en val eur cette similitude : Éléments de la représentation dramatique (théâtre) Éléments de la scène décrite (ferrage des forçats) Spectateurs : Spectateur privilégié (favori) : Acteurs : Scène (plateau) : Eclairage : Acte 1 Acte2 Acte3 Genre dramatique 9) De quelle manière les forçats sont -ils traités par les gardes ? Justifiez votre réponse. 10) Quels sentiments le narrateur éprouve -t-il en assistant à ce spectacle infernal ? 11) Vers la fin du texte le narrateur établit une comparaison entre les forçats et lui, et se considère même plus inférieur qu’eux, relevez dans le texte ce qui le montre. 12) Relevez dans le texte : a- Le champ lexical du théâtre b- Le champ lexical de la terreur et de l’angoisse c- Le champ lexical de la souffrance d- Le champ lexical de la joie 13) Dans quels registres littéraires s’inscrit le texte ? 14) Complétez le tableau suivant : Enoncés Figures de style Tout Bicêtre semblait rire, chanter, courir, danser Seul immobile dans ce tumulte Et referma sur moi serrure, cadenas et verrous Et je fus épouvanté de voir tant d’étincelles reparaître dans cette cendre. Voilà que deux ou trois portes basses vomirent…des nuées d’hommes hideux. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles