analyse Camus Badinter la peine de mort

« Analyse de textes Camus Badinter Introduction Dans cette argumentation nous étudierons les récits de deux grands hommes ayant défendu jusqu’au bout l’abolition de la peine de mort.

Albert Camus, écrivain qui défend cette cause à travers un essai parut en 1957, ‘’ réflexion sur la guillotine ‘’.

Puis un extrait du discours face à l’assemblée national, parut en 1981, de Robert Badinter qui lui était un politicien qui a défendu son projet de loi avec courage.

Dans un premier temps nous analyserons la forme d’écriture de nos deux hommes, puis nous nous pencherons sur leurs stratégies pour convaincre la société à régner la peine de mort.

Ce qui nous mène au questionnement suivent : comment ces deux auteurs donnent-ils de l’efficacité à leurs argumentations ? Partie 1 : -description de l’abolition de la peine de mort par Badinter lors du ‘’chantage’’ cela permet de montrer à la société à quel type de loi ils ont à faire et qu’elle sera ses bien fait sur la France, on voit aussi que le nombre de ligne est le même entre les deux choix cela pourrait affirmer le fait qu’il ne défend aucun des deux parties (4 lignes pour chaque parties).

Il parle à la première personne du pluriel il montre qu’il n’est pas tous seul à lutter et que nous pouvons le rejoindre, il utilise beaucoup les champs lexicaux de la justice et de la violence. -pour camus nous observons l’utilisation de l’imparfait dans le premier paragraphe quand il nous décrit la peine de mort comme s’il voulait nous montrer que tous cela est du passé, il passe ensuite au présent pour montrer que le choix doit être fais et avec réflexions.

Le fait de numéroter ses arguments et de les noter de manière clair et lisible permet au lecteur de faire son choix rapidement Partie 2 : Chez nos deux auteurs nous observons qu’ils utilisent tous deux des arguments d’autorités c’est-à-dire qu’ils font référence a des personnes qui partage la même opinion qu’eux.

Pour camus il se réfère à Koestler et Jean Bloch-Michel, et pour Badinter : Raymond Forni (c’est lui qui rapporte cette loi). Pour les deux auteurs le fait de se référer à des personnes qui ont les mêmes opinions qu’eux montre à la société qu’ils ne sont pas seul à penser que la peine de mort est à abolir et cela pousserait les lecteurs a se documenter un peu plus au près des personnes cité.

Ils prouvent aussi qu’il y a eux un travail de réflexions sur le sujet et qu’ils se sont mis à la place des personnes voulant garder la peine de mort.

C’est le cas pour Albert Camus qui lui affirme s’être remis en question pendant des semaines et qui en a conclu que la peine de mort était indéfendable et que ses arguments étaient encore plus fort, nous pouvant donc penser que Camus cherche à pousser les défendeurs de la peine de mort à se remettre en question eux aussi.

Nous observons aussi que les locuteurs se servent de la conscience humaine pour convaincre la société c’est t’une manière a eux de monter que pour le corps humain il est un impossible de supporter une telle torture, on peut donc penser que c’est un argument moral.

Badinter fait de. »