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analyse candide

Publié le 15/09/2021

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Nous sommes toujours en quête d’un monde idéal. Un monde ou la paix et l’égalité règnent. C’est ce dont Candide, personnage principal de l’œuvre Candide de Voltaire écrite en 1759, recherche lors d’une aventure remplie de péripéties impensables. Il crée ce monde, accompagné de ses amis, qu’il appellera Métairie, inspiré du pays d’Eldorado. Il sera prouvé qu’au chapitre trentième, Candide et ses compagnons parviennent à mener une existence similaire à celle des habitants du pays d’Eldorado, décrite aux chapitres dix-septième et dix-huitième. On peut donc constater qu’il y a plusieurs similarités entre c’est deux mondes, dont le principe d’égalité et l’importance du travail.

« est un mot à connotation positive qui mets de l’emphase sur le mot dessein.

Dans la phrase, on découvre que dans le pays de Candide, la métairie, tout le monde travaille et tout le monde fait ce dont ils ont le talent.

Personne ne se fait exploiter et c’est là-dedans qu’on peut trouver une certaine égalité entre les habitants. La deuxième similarité entre les deux pays, c’est le fait de travailler.

On remarque une entraide collective, ils travaillent tous ensemble dans le but d’avoir une meilleure vie. Dans l’Eldorado, il n’y a aucun système monétaire, toute la population travaille dans le but de maintenir l’Eldorado en bon état.

Lors d’un repas dans le pays de l’Eldorado, Candide voulait payer l’hôte, celui-ci lui répond « Pardonnez-nous si nous nous sommes mis à rire quand vous nous avez offert en payement les cailloux de nos grands chemins. […] Toutes les hôtelleries établies pour la commodité du commerce sont payées par le gouvernement » (p.86).

On peut découvrir un oxymore lorsque l’hôte rit quand Candide lui offre quelque chose qui appartient déjà au monde d’Eldorado (les cailloux).

Ce passage est assez important, parce que c’est dans celui-ci qu’on comprend qu’il n’y a pas vraiment d’argent ni de système monétaire, dans l’Eldorado et que c’est donc avec l’entraide et le travail que ce monde réussit si bien à s’en sortir.

Dans le monde de la M étairie, le travail est tout aussi important non seulement on travaille afin de ne pas s’ennuyer, mais aussi dans le but d’un monde meilleur.

Dans cet extrait, « Cunégonde était à la vérité bien laide; mais elle devient une excellente pâtissière […] et même devint honnête homme » (p.153), on découvre deux mots à connotation positive, « excellente » et « honnête », on comprend alors, que le fait que pratiquement tout le monde travaille dans la métairie ne ramène rien que du positif dans ce monde.. »

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