analyse linéaire spleen baudelaire
Publié le 02/10/2022
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«
Charle Baudelaire Spleen
Baudelaire née a paris en 1821 et mort en 1867 dans cette même ville, est un poète français.
Baudelaire est à la croisé de 3 mouvements litteraire : le symbolisme, le réalisme et le romantisme.
Charle Baudelaire publie les Fleurs du mal en 1857.
« spleen » issu de la section « spleen et idéal »
s’inscrit dans une série de poème consacrée à la mélancolie.
Spleen et un mot de Baudelaire qui l’utilise et le rend connu, c’est l’angoisse et la mélancolie et
aussi tout ceux qui s’oppose a l’idéal grossier.
STROPHE 1 :
°vers 1 -L’anaphore de la conjonction de coordination « Quand » qui ouvre les trois premiers
quatrains rappelle que le monde est soumis à un temps pesant et destructeur.
- Cette pesanteur est amplifiée par le champ lexical du poids « bas, lourd, pèse, couvercle » qui
traduit le sentiment d’enfermement du poète.
« Le ciel bas et lourd » nous donne une idée d’oppression.
°Vers 2 - nous montre l’aspect psychologique la « dépression nerveuse »
-esprit est attaqué d’ennuis comme un monstre
- ’’ gémissant =souligne l’absence de force pour surmonter le spleen
-champs lexical de la tristesse « longs, ennuis...
». °Vers 3 -Il parle de l’intégralité de la terre - il ne parle tjrs pas de quelle que chose de positif °Vers 4 -«Il» = le ciel -«un jour noir » il renforce le coté sombre, triste -noir= oxymore - le bouleversement du poète est comparé à des nuits considéré même comme « plus triste que les nuits ». -comme elle se termine par un ; et quelle n’est constitué que d’une proposition subordonnée, un suspens est créé par un enjambement de strophe à strophe. STROPHE 2 : °vers 5 - « Cachot » -renforce ce sentiment d’enfermement, -Il parle de pluie réel quand il dit « humide » °Vers 6 -compare « l’espérance » qui est utilisé pour désigner une allégorie de l’idéal à une « chauve souris » -« chauve souris » qui montre la nuit, la peur. - une métaphore filé qui parle de la chauve souris , il est emprisonnée dans lui même comme quand les chauve sourie veulent sortir d’un endroit ou elles sont enfermé. =elle est oppressé par le spleen. °Vers 7 -«s’en va battant » participe présent qui semble alourdir l’action la rendre lente et pesante. °Vers 8 – « Plafond » = l’espace se rétrécit car on ne parle plus de ciel mais de plafond - « Pourris »= image sale avec la pourriture et l’humidité. STROPHE 3 : °Vers 9 - progression de la 1ere strophe mais en + douloureuse. -Baudelaire s’inspire du peintre « goya » propulsion dans la folie - « pluie » symbole de la tristesse, la mélancolie. -« immenses » c’est vaste grand, il fait référence à des cordes de pluie -inconsciemment il s’enferme mentalement et physiquement. °Vers 10 - « les barreaux » ça peut être les cordes de pluie qui ressemble a des barreaux et donne l’impression d’être enfermé. °Vers 11 - « araignée »animal provoquant le dégoût, renforcer par « infâme » °Vers 12 - « tendre ses.... »
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