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Bel-Ami et la Presse

Publié le 21/09/2018

Extrait du document

Maintenant que Duroy est reporter il a une impression de supériorité et une grande fierté : «Il se mit à marcher, ..., avec une envie d'arrêter les passants pour leur dire : \"Achetez ça, achetez ça ! Il y a un article de moi.\" Il aurait voulu pouvoir crier de tous ses poumons, comme font certains hommes, le soir sur les boulevards : \"Lisez la vie française, lisez l'article de Georges Duroy.\"».

Duroy, ensuite se rend compte très rapidement que ses collègues journalistes ne sont pastrès rigoureux dans leur travail :
«Ils allèrent l'un après l'autre chercher le joujou qui leur appartenait. Bientôt ils furent six, cote a cote, le dos au mur, qui lançaient en l'air, dans un mouvement pareil et régulier, les boules rouges, jaunes ou noires, suivant la nature du bois. Et une lutte s'étant établie les deux rédacteurs qui travaillaient encore se levèrent pour juger les coups.».

«J'en ai déjà interviewé cinq cents de ces chinois, persans, hindous, chiliens, japonais et autres. Ils répondent tous la même chose, d'après moi. Je n'ai qu'a reprendre mon article sur le dernier venu et a le copier mot pour mot.».

Georges Duroy se lance dans l’écriture de son second article qu’il n’arrive pas écrire seul, il demande alors de l’aide à Forestier qui refuse de l’aider. L’article de Duroy est recalé à de nombreuses reprises.

Duroy remarque que les journalistes ont des privilèges notamment lorsqu'il vont aux \"Folies Bergères\", ils entrent sans payer : «Forestier entrait. Duroy l'arrêta : \"nous oublions de passer au guichet\". L'autre répondit d'un ton important : \"avec moi on ne paie pas\". Quand il s'approcha du contrôle, les trois contrôleurs le saluèrent\"». Par la suite, Duroy signalera qu'il est reporter à La Vie Française et entrera, à son tour, sans payer.

« que reporter. b)Duroy, le journaliste : Maintenant que Duroy est reporter il a une impression de supériorité et une grande fierté : «Il se mit à marcher, ..., avec une envie d'arrêter les passants pour leur dire : "Achetez ça, achetez ça ! Il y a un article de moi." Il aurait voulu pouvoir crier de tous ses poumons, comme font certains hommes, le soir sur les boulevards : "Lisez la vie française, lisez l'article de Georges Duroy."». Duroy, ensuite se rend compte très rapidement que ses collègues journalistes ne sont pas très rigoureux dans leur travail : «Ils allèrent l'un après l'autre chercher le joujou qui leur appartenait.

Bientôt ils furent six, cote a cote, le dos au mur, qui lançaient en l'air, dans un mouvement pareil et régulier, les boules rouges, jaunes ou noires, suivant la nature du bois.

Et une lutte s'étant établie les deux rédacteurs qui travaillaient encore se levèrent pour juger les coups.». «J'en ai déjà interviewé cinq cents de ces chinois, persans, hindous, chiliens, japonais et autres.

Ils répondent tous la même chose, d'après moi.

Je n'ai qu'a reprendre mon article sur le dernier venu et a le copier mot pour mot.». Georges Duroy se lance dans l’écriture de son second article qu’il n’arrive pas écrire seul, il demande alors de l’aide à Forestier qui refuse de l’aider.

L’article de Duroy est recalé à de nombreuses reprises. Duroy remarque que les journalistes ont des privilèges notamment lorsqu'il vont aux "Folies Bergères", ils entrent sans payer : «Forestier entrait.

Duroy l'arrêta : "nous oublions de passer au guichet".

L'autre répondit d'un ton important : "avec moi on ne paie pas".

Quand il s'approcha du contrôle, les trois contrôleurs le saluèrent"».

Par la suite, Duroy signalera qu'il est reporter à La Vie Française et entrera, à son tour, sans payer.. »

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