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Le poème « le pont mirabeau » a été écrit jute après la rupture entre le poète, Guillaume Apollinaire, et Marie Laurencin.

Publié le 02/11/2021

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Le poème « le pont mirabeau » a été écrit jute après la rupture entre le poète, Guillaume Apollinaire, et Marie Laurencin. Apollinaire fait donc allusion à cette rupture dans son poème et ce pont de Paris était même sur son chemin quand il se rendait chez elle. L’auteur de ce poème se nomme donc Guillaume Apollinaire. Il est né le 25 août 1880, et il est décédé le 9 novembre 1918. C’est un poète, écrivain, critique et théoricien d’art français. Apollinaire incarne l’esprit nouveau du début du XXe siècle qui s’ouvre à tout les aspects moderne du monde. C’est unami très proche de Picasso, Max Jacob, André Breton, Delaunay, ou encore Vlaminck. Il se faisait souvent quitter, ce qui est une de ses sources d’inspirations pour ses poème, notamment celui que nous allons analyser aujourd’hui. On peut dire qu’Apollinaire est attaché à la France. En effet, il a combattu dans la Première Guerre Mondiale, où il a été blessé par un éclat d’obus en 1916. Il s’en sort miraculeusement mais meurt 2 ans plus tard, en 1918, tué par l’épidémie de la grippe espagnol. Le recueil « Alcool » a été écrit en 1898 et 1913. Il a été publié en 1913. Entre 1907 et 1912, Apollinaire faisait que de se séparer et de se remettre avec Marie Laurencin, une peintre qui e...

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« Mais c’est quand même la solitude qui domine cette première strophe.

Le verbe « souvenir » souligne l’union avec la femme qu’il a aimée dans le passé confirmé par l’imparfait dans le vers 4.

Le distique (vers 5 et 6) ressemble à une prière.

Le champ lexical du temps: « nuit », « heure », « jours » et « s’en vont » invoque un temps qui détruit tout sur son passage. Ensuite, la fin du vers 6 met en évidence la permanence du poète avec « je demeure ».

Si l’amoureux a disparu, le poète reste, même si on entends le verbe mourir dans « je de meure ».

Dans le deuxième quatrain, Apollinaire semble rester maître du temps comme le souligne le champ lexical de la permanence : « demeure » , « restons », « éternels regards ».

Les répétitions dans le vers 7 recrée l’intimité avec Marie Laurencin.

La métaphore « le pont de nos bras » dans le vers 9 crée un effet de miroir avec le Pont Mirabeau. Pour continuer, les vers 13 à 18 évoque la souffrance du poète face à l’absence. Apollinaire poursuit dans ce troisième quatrain avec la comparaison entre la fuite du temps et la fuite de l’amour au vers 13.

La répétition de « L’amour s’en va » aux vers 13 et 14 crée un effet d’ écho , comme si le souvenir de Marie Laurencin disparaissait.

Les phrases elles-mêmes deviennent des échos à travers la paronomase « vie est lente / est violente » vers 15 et 16.

(La paronomase est le rapprochement de mots aux sonorités semblables) Enfin, Apollinaire insiste sur le passage du temps des vers 19 à 24.

En effet, l e champ lexical du temps est très présent dans le 4 ème quatrain : « Passent », « jours », « semaines », « temps passé ».

La double négation « ni…ni » des vers 20 et 21, souligne ainsi qu’il est impossible de retenir le temps et les amours du passé.

On peut aussi voir dans ce poème un calligramme .

En effet, la manière dont les vers et les strophes sont placés semble dessiner un pont en arc.

Chaque quatrain est un arc du pont, et les distiques sont l’eau qui passe sous le pont. Pour conclure, dans « Le Pont Mirabeau », Apollinaire fait de l’image du Pont Mirabeau un symbole de modernité, c’est une manière de faire le pont entre l’ancien et la moderne , et de souligner l’union perdue entre le poète et Marie Laurencin. Mais, Apollinaire est il le seul à faire des calligrammes dans ses poèmes ?. »

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