Oscar Le Golvan Français 07/11/15 Commentaire

« merveilleux qui paraît immédiatement irréel aux yeux du lecteurs.

En effet, on constate à de multiple reprise un vocabulaire renvoyant à ce thème qu'est le merveilleux.

Ligne 1 : « Candide et Cacambo montent en carrosse ; les six moutons volaient » Ligne 2 : « Le portail était de deux cent vingt pieds de haut, et de cent de large.

» Ligne 17 : « Les édifices publics élevés jusqu'au nues, les marchés ornés de mille colonnes » Dans un deuxième temps, le milieu naturel de ce pays parait être très riche.

On observe une certaine abondance de richesses.

Ligne 5 : « […] sur ces cailloux et sur ce sable que nous nommons or et pierreries.

» En effet ce pays n'est pas constitué de terre mais d'or d’où le nom Eldorado signifiant Le doré. b) La démesure Dans ce chapitre XIII, Voltaire emploi à de nombreuses reprises la démesure descriptive ce qui renforce l'univers du merveilleux.

Ligne 2 « Le portail était de deux cent vingt pieds de haut, et de cent de large » Ligne 17 « les édifices publics élevés jusqu'au nues » La taille gigantesque du portail laisse facilement imaginer au lecteur la celle de la ville et du palais. L'auteur utilise également des hyperboles chiffrées et précise ce qui permet au lecteur d'imaginer encore une fois l'importance et la démesure d'Eldorado. Ligne 2 « Le portail était de deux cent vingt pieds de haut, et de cent de large » Ligne 6 « Vingt belles filles » Ligne 9 « […] chacune de mille musiciens » Ligne 18 : « […] ornés de mille colonne » Enfin une multitude de personnage et de bâtiments sont cités comme : officiers, officières, le roi, édifices publics, fontaine d'eau, de liqueurs et de canne à sucre. Après l'approfondissement du merveilleux dans le conte Candide, nous allons maintenant analyser le message de Voltaire sur sa société d'époque. II Le critique de Voltaire sur le monde et sa société actuelle. »