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Chapitre 6 - Le Hussard sur le toit de Jean Giono

Publié le 01/10/2018

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Il est sur les toits, en haut, et donc extérieur à cette épidémie qui pourrait se trouvait en bas dans la ville. Nous pourrions penser qu’il est à l’abri en haut tandis que les habitants de Manosque eux ont affreusement peur et se trouvent en bas. Angelo est malgré tout heureux d’exister, il se sent bien « respira avec plaisir ce vent qui sentait les tuiles chaudes et les nids d’hirondelles ». Il prend même le temps de contempler la ville de la où il est alors qu’il est poursuivi par de nombreux soldats et que le choléra persiste.

Pour conclure Angelo n’a peur de rien et surtout pas du choléra qui touche tout le monde et en particulier les personnes qui en ont peur. Il prend le temps d’observer Manosque du haut des toits. Ce passage montre bien la façon aérienne dont Angelo vit les évènements qui lui arrivent « vents chaud » « luire » « tuiles chaudes et nids d’hirondelles» ces derniers qui se trouvent en hauteur ou encore « étoiles » « toitures » « très légère » et enfin « vapeurs ». De plus ces évènements ne sont pas qu’aérien ils sont aussi sensorielle puisque nous relevons les cinq sens : la vue avec « voir distinctement » « distingua » « lever les yeux », l’ouïe « bruire », l’odorat avec «  sentait » « respirait », le goût «génoises » et le toucher avec « éteignit la bougie » « s’assit au rebord de la terrasse ». Angelo Pardi est un personnage différent des autres, entre ciel et terre il observe les agitations funèbres des humains et admire la splendeur des paysages.

Angelo va-t-il survivre et résistait à cette épidémie de choléra et accomplir sa mystérieuse mission ?

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« observons une nuit tout aussi joyeuse et lumineuse « étincellement s’allumait sur la crête d’un faîtage » « couleur de perles » « phosphore » « dansait » « nuit était si chargée d’étoiles ».

Ces deux images renvoient au thème d’une nuit malheureuse et sombre mais à la fois lumineuse et gai ceci renvoi donc à un oxymore.

De plus l’image de la chaleur est présente ici « vent chaud » « tuiles chaudes » et « si ardemment embrasées », nous assistons de nouveau à la figure de style de l’oxymore puisque le thème de la froideur apparait avec « glacés » ou encore « glacis » en opposition avec la chaleur.

Les toits de Manosque « vus » par Angelo diffèrent, dans la mesure où ils deviennent de plus en plus « glacés ».

La chaleur étouffante qui persistait depuis le début de l’aventure s’évapore et laisse place à une froideur continue.

Plus la vision d’Angelo est loin plus les termes sont angoissants et lugubres « ténèbres » « réverbères des places et des boulevards soufflaient des vapeurs de rouille et d’ocre » et « déchirure d’encre des rues découpait des quartiers ».

De plus les couleurs qui étaient au départ belles et rassurantes « argent » « couleur de perle » deviennent ternes, comme éteintes « noir et gris » « verdâtre » « rouille et ocre ». Cette fascination sensorielle d’Angelo est une façon de réagir face à l’horreur, de ne pas tomber « dans le vide » et de trouver une façon d’être heureux malgré tout. Nous constatons qu’Angelo est comme « absent » à l’horreur du choléra sur les toits, en effet il fuit cette population et se réfugie sur les toits.

Les individus ont très peur de cette épidémie de choléra présente dans de nombreuses villes et ils décèdent tandis qu’Angelo Pardi lui n’a pas peur d’être atteint de cette maladie et il n’est donc pas touché.

Il est sur les toits, en haut, et donc extérieur à cette épidémie qui pourrait se trouvait en bas dans la ville.

Nous pourrions penser qu’il est à l’abri en haut tandis que les habitants de Manosque eux ont affreusement peur et se trouvent en bas.

Angelo est malgré tout heureux d’exister, il se sent bien « respira avec plaisir ce vent qui sentait les tuiles chaudes et les nids d’hirondelles ».

Il prend même le temps de contempler la ville de la où il est alors qu’il est poursuivi par de nombreux soldats et que le choléra persiste. Pour conclure Angelo n’a peur de rien et surtout pas du choléra qui touche tout le monde et en particulier les personnes qui en ont peur.

Il prend le temps d’observer Manosque du haut des toits.

Ce passage montre bien la façon aérienne dont Angelo vit les évènements qui lui arrivent « vents chaud » « luire » « tuiles chaudes et nids d’hirondelles» ces derniers qui se trouvent en hauteur ou encore « étoiles » « toitures » « très légère » et enfin « vapeurs ».

De plus ces évènements ne sont pas qu’aérien ils sont aussi sensorielle puisque nous relevons les cinq sens : la vue avec « voir distinctement » « distingua » « lever les yeux », l’ouïe « bruire », l’odorat avec « sentait » « respirait », le goût «génoises » et le toucher avec « éteignit la bougie » « s’assit au rebord de la terrasse ».

Angelo Pardi est un personnage différent des autres, entre ciel et terre il observe les agitations funèbres des humains et admire la splendeur des paysages. Angelo va -t-il survivre et résistait à cette épidémie de choléra et accomplir sa mystérieuse mission ?. »

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