commentaire comparer la peur le silence
Publié le 03/04/2014
Extrait du document
«
que les faits racontés ce sont réellement produits.
On peut diviser le récit fantastique en trois partie on commence avec le réel ensuite
l’inte rvention de l’élément surnaturel et à la fin le retour au réel.
Le récit fantastique débute généralement par des faits qui peuvent être réel ou le lecteur peut
se situer, il y’a aussi un calme qui règne sur les lieux et dans l’esprit du narrateur.
Dans
l ’extrait de la peur 1884 lorsque Tourgueneff raconte son anecdote de la ligne 1 a 6 tout est
ordinaire on peut dire aussi que le chasseur est heureux car il a employé le champ l’lexicale
du bien être : calme ; clair ; tranquille ; heureux.
Même chose pour son amie.
Les deux citent
des choses qu’on peut faire au quotidien exemple se baigner, se promener par contre dans le
second extrait le début est différent car même si les lieux cités sont réels la rivière Zaïre les
faits ne le sont pas : par exemple il d it à la ligne 3 « la pluie tombait » ce qui est normal
ensuite à la ligne 4 il dit « mais quand elle était tombée c’était du sang »
Le calme qui règne généralement ne dure pas tout va basculer d’un moment à l'autre.
Dans
le texte de Maupassant il emploi à la ligne 7 pour le récit de Tourgueneff et à la ligne 48 pour
celui du compagnon la locution tout à coup cela permet d’annoncer l’apparition d’un fait
inexplicable et effrayent .même chose dans l’extrait de Poe on a la locution tout d’un coup à
la lign e 10
Le surnaturel apparait sous différentes formes par exemple dans le premier extrait à étudier
lorsque le compagnon de Tourgueneff raconte son histoire le surnaturel est apparu au début
sous forme d’un bruit inexplicable ensuite il a vu une brouette qui courait seul
A la fin d’un récit fantastique le héros peut trouver une explication rationnelle à ce qu’il lui est
arrivé comme aussi le mystère pouvait rester intact.
Dans le conte de Maupassant la peur la
fin des deux récits est expliquée pour le chasseu r ce n’était qu’une folle et pour le compagnon
c’était un enfant qui marcher pieds nu.
Dans le conte de Poe le mystère est restée intacte car à
la fin on ne sait toujours pas qui est cet homme ni qu’elle est la raison de son mal être il nous
dit juste qu ’il s'est enfui le narrateur nous laisse imaginer à la fin de répondre aux questions
que l'on se pose
Face à tous ces phénomènes étranges le héros est partagé entre différents sentiments la
peur et l’angoisse.
Généralement dans un récit fantastique la nuit et la solitude sont les éléments essentiels pour.
»
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