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Corpus singularité du poète

Publié le 01/07/2013

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Petite analyse de chaque poème + corpus à la fin   L'ALBATROS, Charles Baudelaire   - image du poète à travers la description d'un albatros - Vision de la solitude du poète - Baudelaire met en valeur sa maladresse, sa honte et sa laideur > (V.6) « maladroit et honteux «, (V.10) « comique et laid! « - Dans la dernière strophe: Albatros personnifié >> Baudelaire se compare à cet oiseau - le poème fait du poète, par une comparaison et un métaphore hyperbolique, « un prince des nuées« > ( V.13) « Le Poète est semblable au prince des nuées « - Outil de comparaison: « semblable « - Baudelaire donne une image du poète vivant dans un monde à part - Le poète se voit comme être fragile qui se sent mieux pour produire quand il est libre au-dessus de tout , mais qui est, une fois à terre inadapté à la vie en société. > (V.16) « Exilé sur le sol au milieu des huées « - « huées « = moqueries dont est victime le poète     Le pin de Landes, Théophile Gautier   -Gautier décrit d'abord les Landes puis le pin - Dans la dernière strophe, le poète est comparé au pin. > (V.13) « Le poète est ainsi dans les Landes du monde « - Outil de comparaison: « ainsi « - Vision cruelle du poète > (V.6) « avare bourreau de la création « - Le pin est présenté avec « sa plaie au flanc «. Cela montre que le poète souffre. - Champ lexical de la douleur: « plaie, larme...

« Le pin de Landes, Théophile Gautier   -Gautier décrit d'abord les Landes puis le pin - Dans la dernière strophe, le poète est comparé au pin. > (V.13) « Le poète est ainsi dans les Landes du monde » - Outil de comparaison: « ainsi » - Vision cruelle du poète > (V.6) « avare bourreau de la création » - Le pin est présenté avec « sa plaie au flanc ».

Cela montre que le poète souffre. - Champ lexical de la douleur: « plaie, larme, douloureux, blessé, mourir, blessure, entaille profonde » - Gautier à travers cette comparaison, définit la condition du poète - Le pin déverse sa sève, le poète ses vers ou l'homme « son sang qui coule goutte à goutte » - Si le poète ne souffre pas, il ne produit pas de poésie > (V.14) « Lorsqu'il est sans blessure, il garde son trésor » - Le poète doit donc souffrir et se sacrifier pour l'humanité, pour produire sa poésie. > (V.15) « il faut qu'il est au coeur une entaille profonde » - Il accepte sa douleur et garde force face à ce combat. > (V.11) « Et se tient toujours droit sur le bord de la route ». »

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