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Devoir d'invention (Conte fantastique)

Publié le 22/05/2012

Extrait du document

conte

Dans un immense royaume où pauvres paysans côtoyaient riches noble. Un endroit, placé sur la plus haute colline, renfermait une source magique. Cette somptueuse colline était entourée de murailles infranchissables recouvertes de lierres et de plantes grimpantes, ce qui rendaient les murailles encore plus impressionnantes. La source magique avait -paraissais-t-il- des vertus. Si vous buvez son eau, elle guérira toutes vos peines, quelles qu’elles soient.

Une fois par an, une brèche se forme dans la rempart, si vous êtes choisis vous aurez la chance de vous frayer un difficile chemin jusqu’à la source et de profiter de sa bonne fortune.

Ce jour là était venu, des centaines de personnes affluaient devant la colline. Un vacarme assourdissant régnait. Tout le monde trépignait d’impatience de connaître l’élu.

Cette année, trois paysannes infortunées étaient venues tenter leur chance. L’une Sarah, avait une maladie incurable qui l’affaiblissait de jour en jour. Elle espérait que la source lui donnerait la chance de guérir. Une autre, Laetitia, avait été abandonnée par l’homme qu’elle chérissait le plus et n’avait aucunes autres solutions pour guérir son cœur. La troisième, qui s’appelait Alice, avait vu tout ses biens partir en fumé dans un malheureux incendie crée par un sorcier maléfique.

conte

« les sens mais tout à coups elle s’effaça dans la pénombre de la forêt.

Il s’exclama.

« C’est sa ! C’est l’ombre ! Le jour elle nous suit partout et la nui t elle est tout autour de nous ! » .

Le monstre acquiesça d’un geste bref de la tête.

Il s’en alla laissant le passage libre.

Une fois le monstre disparu, ils respirèrent calmement à nouveau.

Ils attendirent plusieurs minutes pour se calmer puis ils reprirent leur route en direction du sommet.

Le paysage était alors jusque la une grande forêt de séquoia mais leur vue se dégagea et petit à petit la forêt se transforma en sous -bois composé de chênes .

Au bout d’un moment, un obstacle surgit.

C’était une immen se rivière où l’eau coulait si frénétiquement qu’il était impossible de la traversée.

Les quatre compagnons, à court d’idées, ne savait pas quoi faire.

Alice pencha la tête au dessus -de la rivière.

Les vagues l’hypnotisèrent.

Elles l’emmenèrent dans un rêv e où elle se voyait dans une grande maison, avec de nombreuses richesses autour d’ elle.

Mais contrairement à ce qu’elle aurait pensé dans son rêve elle était seule et malheureuse, son visage limpide appelait à l’aide.

Cette vision l’angoissa.

Elle revint à elle, regardant toujours les vagues.

Elle secoua la tête et se tourna vers les autres, le visage crispé.

Elle réfléchit plusieurs minutes afin de comprendre la signification de ce rêve.

Elle conclut qu’elle n’avait pas besoin de son ancienne richesse pour obtenir le bonheur.

C’est alors qu’elle vit les vagues se calmer et le courant de l’eau ralentir .

Les autres furent étonnés, seule Alice comprit.

Le chevalier fut le premier à se jeter dans l’eau, il traversa sans problèmes.

Les autres le suivirent sans broncher malgré l’eau gelée.

Ils atteignirent tous l’autre rive.

L’eau leur avait fait du bien mais ils commençaient à fatiguer.

Sarah était de plus en plus faible, sa maladie n e l’aidait pas.

Ils prirent le temps d’observer le paysage.

De ce côté de la ri vière le sommet de la colline était visible.

Le courage était de nouveau parmi eux.

Ils reprirent leur chemin et le sentier était bordé d’une grande prairie qui devait faire le tour de la colline.

Le ruisseau avait disparu un peut avant l’obstacle de la ri vière.

Ils marchèrent de longues heure jusqu’à l’épuisement.

Sarah ne pouvait plus avancer sans l’aide du chevalier ou d’ une de ses alliés.

Alice regardait le paysage et fut étonné de revoir le même rocher posé sur le bas côté du sentier toutes les dix minutes.

« J’ai l’impression que nous tournons en rond, les paysages sont les même ».

Sarah la tête penchée vers le sol remarqua une inscription et s’écria.

« Regardez ! Il a quelque chose d’écrit ici ».

Le chevalier s’ accroupit près de l’inscription et lu à haute voix ce qu’il y avait d’inscrit.

« Payez -moi avec le fruit de votre dur labeur ».

Le chevalier resta penché au dessus de l’inscription cherchant vainement une réponse.

Le soleil tapait fort et leurs longues heures de marche lui avait donné chaud.

Une goutte de sueur perla sur son front et glissa sur l’inscription.

Les lettres s’effacèrent pour laisser place à un seul mot : Merci.

La voie était libre.

Cette fois, ils allaient enfin pouvoir atteindre la source.

Ils montaient la pente de plus en plus ru de avec l’espoir s’agrandissant, mais Sarah était trop faible et ne pouvait plus continuer.

Elle s’ effondra au sol silencie usement.

Laetitia peinée de voir son amie si mal en point lui proposa de lui concocter une potion avec les herbes qu’elle pourrait tr ouver pour l’aider à aller un peu mieux.

Elle s’éloigna dans l’étendue verte et revient avec plusieurs herbes dans les mains un grand sourire aux lèvres.

Elle avait trouvé tout ce qu’il lui fallait, même des herbes très rares.

Elle sortit une petite fiole de sa veste et y versa les herbes.

Elle la secoua puis la tendit à Sarah lui assurant qu’elle irait mieux après.

En effet, après quelques minutes, Sarah était de nouveau en pleine forme.

Sa maladie semblait même avoir disparue.

Quelques minutes plus tard, ils atteignirent la source.

Ils sautèrent de joie et burent tous une gorgée.

Ils avaient tous un sourire aux lèvres.

Sarah avait guérit de sa maladie incurable.

Alice savait à présent que le bonheur ne reposait pas que sur la richesse.

Laetitia et l e chevalier était. »

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