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Publié le 01/12/2013

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La BD La bande dessinée satirique dans la classe de Français Langue Etrangère Annette Runge Jacqueline Sword CLE INTERNATIONAL Étudiante : Sava Silvia, groupe 322L. INTRODUCTION L'objectif principal de la méthode "La BD en salle de classe" est de contribuer à faire connaîntre et aimer la bande dessinée satirique tout en montrant qu'elle est un bon outil pédagogique. Elle nous présente 15 bandes dessinées de : Bosc, Bretécher, Chimulus, Faizant, Hoviv, Margerin, Reiser et Wolinski choisies en fonction de l'histoire, des situations et de leurs contenus linguistique et socio-culturel. Elles sont ordonnées d'après leur degré de difficulté lexical et grammatical et de leur didactisation. Chaque chapitre contient une présentation de la bande dessinée avec entre autres une analyse du dessin, de l'humour et des éléments de civilisation, suivie d'une fiche pédagogique proposant un eventail d'idées pour l'exploration didactique. Il est à noter que toutes ces bandes dessinées peuvent être utilisées comme matériel complémentaire à côté de tout manuel quel qu'il soit ou servir de base à un cours de révision. Généralement, ce livre s'adresse à des professeurs de français langue étrangère qui enseignent soit à des adultes soit à des élèves du secondaire. C'est au professeur de choisir sa « BD du jour » en fonction des besoins de sa classe. PETIT DICTIONNAIRE DE LA BANDE DESSINÉE Ballon : (bulle)  « petit nuage blanc, dans lequel sont inscrites les paroles prêtées aux héros du récit. » (Le Nouvel Observateur du 19 mai 1967) Bande Dessinée : « Suite de dessins qui racontent une même histoire ou présentent un même personnage. » (Petit Robert). Bédéphile : Comme le francophile aime la France, le bédéphile aime la BD( néologisme). Bédéiste : créateur de bande dessinée Bédessinateur : Contraction de BD et dessinateur = dessinateur de BD (ce mot est un néologisme et ne figure encore ni dans Larousse ni dans le Petit Robert). Case : Une bande dessinée se compose d'une suite d'images appelées cases. Hachure : Procédé graphique permettant soit de révéler la colère d'un personnage, soit de traduire le mouvement ou la vitesse. Idéogramme : Image ou signe symbolique rendnttoute explication superflue.( Tout le monde connaît l'exemple de la loampe qui s'allume pour exprimer que quelqu'un vient d'avoir une idée.) Lettrage : Procédé qui permet par le graphisme des lettres (taille,épaisseur, forme, disposion..) d'évoquer l'humeur et les sentiments d'un personnage ( colère, excitation, peur etc.). Onomatopée : Mot crée dans le but de rendre un son ( ex. : « dring » représente la sonnerie du téléphone). Planche : Nom donné à une page de bande dessinée. Ponctuation : En tant que procédé graphique, elle est très fantaisiste et remplit ainsi la même fonction que le lettrage. Récitatif : indication de lieu, temps servant à situer une action ( « Quelques heures plus tard.. »). Les récitatifs se situent généralement en haut des cases dans des cartouches. Serpentin : Trait en forme de spirale qui est employé comme procédé graphique pour traduire la vitesse. Synopsis : plan écrit très succint d'une histoire à partir duquel on développera le « scénario ». Pourquoi la bande dessinée satirique ? Parce que la BD est un document authentique des plus vivants et des plus motivants; Parce la BD est en France un phénomène de civilisation; Parce qu'elle permet, par son genre d'humour, de faire connaître le comportement et la mentalité des Français; Parce que ses possibilités d'utilisation en classe sont multiples; Parce que la langue de la BD est une langue de tous les jours. Quand même il est difficile de parler de la BD en passant sous silence un genre très proche : le dessin d'humour, auquel s'adonnent aussi la plupart des dessinateurs rassemblés dans ce livre. Le dessin humoristique On en distingue deux formes : Le dessin d'humour qui présente des scènes amusantes de la vie quotidienne en se moquant de certains travers de nos contemporains ou de la société; Le dessin humoristique de presse qui, lui, commente l'actualité comme le ferait un éditorial. L'un et l'autre présentent une vison synthétique du monde et des événements et n'ont aucune prétention à l'objectivité. L'utilisation en classe On peut : Montrer un dessin humoristique simplement dans un esprit de détente parce que son sujet se rapporte au sujet de la leçon. Faire ressortir les éléments de civilisation - si le dessin s'y prête, bien entendu - et analyser les clichés qui en découlent. Faire décrire son contenu, mais là, attention, car c'est une activité très artificielle si tous les apprenants ont le dessin sous les yeux. Pourquoi, dans ce cas, ne pas donner le dessin à la moitié de la classe et en faire deviner le contenu par l'autre...

« INTRODUCTION L’objectif principal de la méthode “La BD en salle de classe” est de contribuer à faire connaîntre et aimer la bande dessinée satirique tout en montrant qu’elle est un bon outil pédagogique.

Elle nous présente 15 bandes dessinées de : Bosc, Bretécher, Chimulus, Faizant, Hoviv, Margerin, Reiser et Wolinski choisies en fonction de l’histoire, des situations et de leurs contenus linguistique et socio- culturel.

Elles sont ordonnées d’après leur degré de difficulté lexical et grammatical et de leur didactisation. Chaque chapitre contient une présentation de la bande dessinée avec entre autres une analyse du dessin, de l’humour et des éléments de civilisation, suivie d’une fiche pédagogique proposant un eventail d’idées pour l’exploration didactique.

Il est à noter que toutes ces bandes dessinées peuvent être utilisées comme matériel complémentaire à côté de tout manuel quel qu’il soit ou servir de base à un cours de révision. Généralement, ce livre s’adresse à des professeurs de français langue étrangère qui enseignent soit à des adultes soit à des élèves du secondaire.

C’est au professeur de choisir sa « BD du jour » en fonction des besoins de sa classe.

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