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Explication Cosette à la fontaine

Publié le 08/02/2013

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fontaine
Point de vue de Cosette Peur animale Foret Pathétique Narrateur : omniscient (se substitue à Cosette) Deux puissances opposées s'affrontent : La Thénardier, divinité maléfique, hors-champ mais toujours présente, et le sauveur : " seau qui ne pesait plus rien ", " main énorme ". Le récit de la vision de Cosette à la source est fantastique : formes hallucinatoires Augmente suspens : Cosette ne constate pas la perte de sa pièce Le paysage fantastique Enfer : serpents, feu blanc, nuages qui comme pans de fumée Monstre (thenrardier) Visions Pas de choix Peur de thenardier Course, panique Noir= ennemi (opposition, 12-13) : ne voit rien (cherche dans l'obscurité Brave soldat : forces triplées Paysage fantastique : Personnification des branchages, des buissons, des ronces qui donnent l'impression soit d'être menaçants soit d'être menacés Une nature menaçant...
fontaine

« PLAN : Problématique : Comment le narrateur présente le déplacement de Cosette comme une entrée dans le monde du Mal et comment cette dimension diabolique sera dissipée par l’apparition quasi providentielle de Jean Valjean NB : Dans l’AT la lumière est liée à la vie, alors que les ténèbres sont la mort.

Selon Jean, Dieu est la lumière Dans le NT, à la lumière, symbole de la vie, de joie et de bonheur, font face les ténèbres, symboles de mort, de larmes et de malheurs : à la lumière du salut s’opposent les ténèbres d’ l’ignorance I.

UNE SITUATION DIFFICILE 1.

Une gradation dans la souffrance Les obstacles se multiplient au fur et à mesure qu’elle avance: Noir + fardeau+ perte de pièce+ angoisse d’être en retard.

A la fin de l’extrait, sa panique se double du désespoir 3.

Panique et désespoir a.

Panique · Face au noir et à ce qu’il peut cacher ou engendrer : - Empressée pour sortir le plus vite possible : forces triplées (22), oublie la pièce de quinze sous qui tombe dans l’eau (dramatisation, suspens), épuisement : l’arrêt s’impose (l.

26 : « forcée de s’asseoir » - Peur ineffable (« les expressions manquent pour dire.., 42-43) - Peur animale : × les instincts les plus profonds de l’homme sont mobilisés pour s’en sortir (instinct de survie): le mot « instinct » revient par trois fois : « chose étrange, elle ne se perdit pas.

Un reste d’instinct la conduisait..

» 15-16 + « par une sorte d’instinct… elle se mit à compter », (45-46) + « Il y a des instincts pour toutes les rencontres de la vie.

L'enfant n'eut pas peur » (66-67) × « œil farouche », 43, · Face à la Thenardier comme s’il s’agissait du diable.

« Devant elle le spectre de la Thénardier ; derrière elle tous les fantômes de la nuit et des bois.

Ce fut devant la Thénardier qu’elle recula.

» (4-5) « elle pensait avec angoisse qu'il lui faudrait plus d'une heure pour retourner ainsi à Montfermeil et que la Thénardier la battrait » (54-55). 2. »

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