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Il n’y a pas d’images là où les mots suffisent.

Publié le 19/08/2013

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C’est un personnage droit, honnête, curieux qu’on me dira...Mais il n’est rien de tout cela. C’est un « aliéné authentique «. Je m’explique : Il préfère céder à la folie plutôt que de ressembler à tous ces moutons, beuglant pour se faire abattre en premier. Il n’est pas conscient, il est conscient qu’il est conscient d’être conscient. Cet état là, la pensée unique le définit comme de l’Inconscience. Génial, excitant. Ce jeu est très important pour moi, il me permet de mettre sur scène de manière exagérée et précise, l’observation d’ont je fais usage tout les jours. C’est un grand enfant qui dit toujours la vérité, rien que la vérité. On surprend souvent les gamins à dire « maman, pourquoi le monsieur il est gros ? « Et le respect de l’autre qui s’installe au fil des années, ce 

« J’aime le Théâtre parce qu’il ne nous aime pas.

Il nous embellis, nous attaque, nous précipite dans une chute de regrets, de sentiments oubliées, et nous oublie à son tour afin que n’importe quel homme se souvienne de lui.

Le Théâtre est complet parce que nous sommes incomplets , parce que la vitalité du Théâtre n’est rien sans la souffrance humaine.

On se moque, on rit de l’impossib le qui pourtant est plus réel qu’un pincement sec, afin de se réveillez dans ce monde inconnu.

La pièce Funérailles d’Hiver d’Hanokh Levin est une pièce centrée sur l’égoïsme, sur la folie de l’égoïsme.

C’est de l’absurde qui dérape dans une machination de mensonges, de manipulation, et de vérité absolu.

C’est d’ailleurs ce qui ma toucher à la lecture de ce texte, cette exagération bouillonnante qui révèle ce cauchemar que l’on vit, sans s’en rendre compte, comme dans un vieux rêve enfoui, volontairement.

C e que l’on ne veut pas voir dans la vie, c’est la vérité que l’on observe au Théâtre.

Chaque jour nous sommes confrontés à cette pitrerie destructrice, mais dans le quotidien, tous s’efface.

Mon rapport avec le Théâtre n’est pas objectif, ni subjectif, il est situé dans ma réalité des choses.

Je n’ai aucune envie, comme tout autre, de me rendre compte que ces personnages d’Hanokh Levin sont des sentiments, des émotions réels.

Et je l’accepte.

Il n’y a pas de compromis face à l’apocalypse théâtrale .

Je dirai que ce n’est pas la pièce en elle- même qui m’a plus, mais plutôt cette ouverture au monde que Hanokh Levin nous offre.

On dit que c’est « exagéré » voir « étonnant » mais je pense, personnellement, subjectivement, que ce n’est rien d’autre que ce que l’on vit au jour le jour.

Nous sommes bien trop aimés de nous même pour dire que cet égoïsme absurde dénoncé par Hanok h Levin est sincèrement réaliste.

Beaucoup de réel dans ce dossier, j’adore ! Ainsi que dans cette pièce.

Ce Théâtre n’est pas absurde quand o n considère que l’Homme l’est encore plus.

Je n’ai jamais vraiment connu le Théâtre.

Je l’ai toujours découvert.

J’ai commencé à l’âge de 8ans pour au final le finir dans un âge défini…Plus tard.

Au Départ je jouais pour voir, pour m’amuser et me montrer.

Maintenant je ne joue que pour me montrer.

C’était le bon vieux temps, ou je n’épiais pas encore la vie du Théâtre, non, je mourrais simplement.

Entre potes, c’est toujours drôle de faire un personnage.

a vous détend, vous frustre, et sa vous fait aimer cette vie.

Ce qui me plait c’est les émotions.

J’ai toujours était attiré par l’Emotion.

Moi, qui fonctionne sur la Raison.

Etonnant non ? La mise à nue, le contrôle du corps…Du visage.

Et tout ça c’était ce que je pensais du Théâtre au bout de 10 années d’a vant mort.

Les yeux, mes yeux… Voila ou l’on peut puiser la source d’un acteur ! Son regard, son attitude, ses gestes.

Je passe plus mon temps à observer, analyser et déduire un bout d’histoire que d’écouter l’Histoire entière.

Plus les acteurs sont engagé s dans leur jeu, plus je suis dégagé de la trame principale.

J’aime me compliquer.

Disons que c’est une façon de me montrer aussi.

Chaque détail compte quand ils nous sautent à la figure.

Alors petit a petit, et bien que je sois encore gamin, j’apprends a chaque heure, minute et seconde de mon existence.

Tout est un Théâtre si on se souvient bien.

Les Drames sont des mises en scènes dont le dramaturge est celui qui a le pouvoir.

Et sa a toujours était le cas.

Le Théâtre est une révolution dans un art.

Je va is vous dire pourquoi.

Ou plutôt comment vous pouvez le comprendre : Le Théâtre est une Révolution, et la Révolution est l’évolution d’un rêve.

Pour le comprendre faut penser mieux, sinon vous ne penserez jamais.. »

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