« Il y a des livres auxquels on ne peut s'arracher, des lectures qu'on ne se décide pas à interrompre ... » - Si vous avez fait cette expérience, analysez-la
Publié le 01/09/2012
Extrait du document
Un autre facteur peut intervenir dans ce phénomène qui fait qu'il est impossible de s'arracher à certaines lectures. D'aucuns ont expliqué qu'on renoue parfois par le livre avec une intimité perdue, une vie à laquelle on voudrait participer. Dans les Trois Contes de Raubert, ou dans L'Enfant de la haute Mer de Supervielle, le lecteur retrouve en quelque sorte une de ces histoires colorées et un peu folles que ses parents lui contaient avant son sommeil.
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Nous découvrons au fur et à mesure de la lecture du Meilleur des
Mondes une histoire, un monde nouveàu qui nous angoisse parce
que c'est peut-être
le destin de notre humanité.
L'attachement
à un livre peut-être lié à une découverte, à.
»
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- Bernard Pingaud, dans la préface de l'Expérience romanesque écrit : «Le bon lecteur n'est pas seulement celui qui se laisse entraîner. C'est aussi celui qui discute, qui, à chaque page, à chaque phrase, trouve des raisons de s'interrompre et de questionner, qui va et vient dans l'oeuvre sans respect pour sa belle ordonnance, y relève des similitudes et des contradictions, des obscurités et des échos, et ne cesse finalement de trouver à cette étrange machine des usages nouveaux que l'au
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