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immigration francaise et la litterature

Publié le 04/11/2014

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l'immigration et l'écriture (cinématographique ou littéraire)     L’écriture reste une façon bien importante de nourrir la mémoire de l’immigration et de faire revivre les leçons qu’on a glanées dans les plusieurs vagues de l’immigration. Cette écriture, qui se compose des livres, des films, des articles et des témoignages des personnes qui ont vécu l’immigration, a le pouvoir de relier le monde d’aujourd’hui, surtout celui de la France, à un passé empreint par l’immigration. Premièrement, l’écriture peut dépeindre les hostilités que les immigrés doivent subir dans leurs pays natals et les difficultés auxquelles ils doivent se heurter dans leurs pays adoptés. En plus, l’écriture peut présenter de façon détaillée la considération de la question qui hante souvent l’esprit des immigrés: celle de leur propre identité et des pays auxquels ils s’identifient le plus. Finalement, en plus de sa capacité de ranimer la mémoire de l’immigration passée, l’écriture peut jouer un autre rôle actif de souligner l’état actuel de l’immigration contemporaine et de nous rappeler nos responsabilités vis-à-vis des réfugiés.   Les mémoires de la souffrance     En premier, l’écriture donne un aperçu profond de la triste réalité dont les immigrés sont souvent forcés à fuir tout en laissant leurs maisons et leurs biens dans leurs patries ravagés. Dans le témoignage d’Hélène, une réfugiée congolaise, elle réfléchit à ses expériences au Congo où elle avait été soupçonnée de s’opposer au président avant d’être torturé à cause de ces soupçons-là: « Ils m’ont tapée partout avec leurs matraques. Ils m’ont même cassé l’intestin ». À la suite de cette brutalité inhumaine, on lui a conseillé de partir en Europe, mais les difficultés ne se sont pas terminées par son immigration en France; la dernière illustration utilise les couleurs sévères pour dépeindre sa tristesse et sa solitude douloureuse, qui est confirmée par son affirmation: « moi, j’aime manger comme on dit par ma sueur, me débrouiller ». Cette incapacité de s’intégrer bien dans le nouvel environnement, comme ce qu&rsquo...
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« bien dans le nouvel environnement, comme ce qu'Hélène a connu, est bien évident dans beaucoup de témoignages des immigrés et des réfugiés.

Par exemple, le témoignage du musicien franco-algérien, Taoufik Bestandji, porte sur les difficultés à propos de l'intégration des Algériens.

En dépit de sa préconception de la France  « moderne » et « belle », il a trouvé une communauté des immigrés Algériens à Grenoble qui était en contradiction avec son image de la France: les immigrés étaient « en misère » et « au chômage » et les enfants n'ont compris rien à cause du fait qu'ils n'ont pas pu parler arabe.

Donc, Bestandji souligne un élément qui a rendu l'intégration complète une tâche presque insurmontable: la barrière de la langue.

Cependant, le témoignage de Zohra, une autre immigrée algérienne qui a quitté l'Algérie à l'âge de 18 ans, présente un contraste absolu entre une bonne intégration et une mauvaise intégration tragique.

Bien que Zohra elle-même fût motivé et se soit bien intégrée dans la société française, son fils n'a pas également réussi à tenir cet équilibre.

Donc, en essayant de trouver cet équilibre, Zohra parle de l'utilisation meurtrière des drogues par son fils pour combler ce vide: « Le drogue et le sida m'ont enlevé le fils ». En bref, l'écriture peut communiquer la souffrance répandue des immigrés, qui espèrent s'échapper à l'hostilité en quittant leurs pays natals mais qui ne peuvent pas totalement s'échapper aux difficultés.   Les mémoires des identités cassés     Cet équilibre entre l'assimilation dans le nouveau pays et la fidélité aux racines peut s'avérer vraiment difficile, et l'écriture peut fournir un exutoire important en aidant les étrangers à exprimer cette véritable rupture et en aidant le grand public à apprécier ces sentiments.

Linda Lê aborde cette idée-là dans sa courte histoire, Les Pieds Nus, où une jeune enfant vietnamienne est forcée de sa maison et court pieds nus dans la rue.

Vers la fin de l'histoire, l'auteur évoque les mots de la poète allemande, Nelly Sachs, afin de décrire le conflit interne auquel un étranger fait face typiquement : « Un étranger porte sa patrie dans les bras comme une orpheline pour laquelle il ne cherche rien d'autre qu'un tombeau. » En utilisant cette image d'une « orpheline » fragile, dont on doit toujours s'occuper, comme symbole de la « patrie », Lê inclut cette métaphore vive pour démontrer la difficulté immense de préserver les liens à la patrie, qui sont également fragiles.

De plus, Tran Dung Nghi,. »

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