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La Barricade : Commentaire de français

Publié le 30/11/2014

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Commentaire de français - La barricade : Victor Hugo né en 1802 et mort en 1885, fut l'un des plus grand hauteur de son temps grâce à de nombreux poèmes et livres qu'il a écrit dont « Les Misérables » qui est un immense roman élaborés de 1845 à 1862 dans lequel Victor Hugo s'intéresse à l'histoire contemporaine. Le roman met en scène une histoire qui se déroule pendant la Restauration (1815-1830) et la monarchie de juillet (1830-1848). L'extrait que nous allons étudier met en scène un enfant qui s'appelle Gavaroche est qui récupère des munition afin d'approvisionner les siens. Que veut montrer l'auteur à travers cet extrait qui met en scène un enfant comme héros ? Nous allons étudier cet extrait en nous penchons d'abord sur le dynamisme du texte puis nous allons voir pourquoi ce texte est bâtie sur des contrastes. Premièrement, cette extrait du roman « Les Misérables » de Victor Hugo paru en 1862 est un texte à suspens dont le dynamisme est très bien élaboré. Le dynamisme du texte nous est d'abord montré par divers procédés (registre, focalisation, temps, etc...) situées dans l'extrait. Par exemple, on constate que toute au long du récit le narrateur est anonyme (il ne fait pas parti de l'histoire). Et que son point de vue est omniscient (il a une connaissance total de l'histoire). Prenons un exemple d'illustration à la première ligne : « Il rampait à plat ventre ». Dans cette citation, on peut remarquer le pronom personnelle « il » qui montre que le narrateur raconte l'histoire à la troisième personne du singulier et qui montre que le narrateur est anonyme. De plus, le verbe « rampait » qui est conjugué à l'imparfait renforce l'omnicité du narrateur. Tout comme, le point de vue et la place du narrateur dans l'histoire, le champ lexical de la violence dans l'extrait renforce le dynamisme du texte. Plusieurs mots et verbes tels que « cadavre »( l.6), « fusillade »(l.9), « mort » (l....

« et 44 : « C'était le moineau becquetant les chasseurs.

» .

Nous sommes ici confrontés à une métaphore, qui compare Gavroche à un moineau.

Ils est aussi comparé à un gamin fée : « Ce n'était pas un enfant, ce n'était pas un homme ; c'était un étrange gamin fée »(l.52).

Par cette métaphore, l'auteur le compare à un personnage merveilleux.

Il est également comparé à un enfant feu follet : « Une balle pourtant, mieux ajustée ou plus traître que les autres, finit par atteindre l'enfant feu follet .» Cette métaphore nous montre que Gavaroche est associé à un enfant feu follet.

Tous ses images (en plus des accumulations des verbes ), met en avant l'agilité de Gavaroche et contribue au dynamisme du texte. Enfin, le sens et le rythme de la chansons est en parallèle avec le texte accentue ce dynamisme.

Entre le texte et la chanson il y a une sorte d'échange .

En effet, l'extrait commence par un gros paragraphe, puis il y a la chanson, ensuite en reprend par un texte qui est suivi de la chanson.

Ce dernier est suivi par un texte, puis vient la chanson, ensuite vient un gros paragraphe suivi de la chanson et d'un texte.

A chaque fois que Gavaroche évite une balle, il chante le chanson.

Par exemple : «Là une quatrième balle le manqua encore.

Gavaroche chanta : Je ne suis pas notaire, C'est la faute à Voltaire, Je suis petit oiseau, C'est la faute à Rousseau.

» (l.29-34). Après avoir analysé en détail le dynamisme du texte, nous allons voire que ce texte est bâtie sur des des contrastes. Deuxièmement, ce texte qui met en scène un enfant qui s’appelle Gavaroche comme héros est bâtie sur des contrastes . Nous savons que l'action principale de Gavaroche est de ramasser des cartouches en plein milieu de mort alors qu'il est la cible des soldats National.

Est-ce une inconscience de l'enfant ou de la réalité du monde ? Pendant son ramassage de cartouche, Gavaroche agit comme si il était dans un jeu : «il jouait on ne sait quel effrayant jeu de cache-cache avec la mort.»(l.54) et «Il avait l'air de s'amuser beaucoup .»(l.44).

Ces deux citations accentue son inconscience le «cache-cache» montre que c'est un enfant.

Gavaroche est associé à un gamin : «le gamin lui donnait une pichenette »(l.55- 56).

En plus, il amuse les soldat : «Les gardes nationaux et les soldats riaient en l'ajustant.»(l.45- 46).

Malgré que ses camarade panique , lui il chante : « Les insurgés, haletants d'anxiété, le suivaient des yeux.

La barricade tremblait ; lui, il chantait ».

Il n'arrête pas de chanter : « Il répondait à chaque décharge par un couplet.

»(l.43).

Toutes ces citation montre son inconscience.

Et pourquoi envoyer un enfant ramasser des cartouches en plein milieu de mort don t il sera la cible de l'ennemi. En plus de cela, certaines images qui lui sont associées sont parfois contradictoire.

Comme je l'ai dit tout à l'heure, Gavaroche est associé à un moineau par une métaphore : «C'était un moineau, becquetant les chasseurs.»(l.43-44).

Par cette métaphore, l'auteur associe Gavaroche à un moineau qui becquette les chasseurs.

Mais un moineau qui becquette un chasseur ça n'existe pas.

Cela accentue le contraste comme un autre exemple qui est une antithèse : «Le spectacle était épouvantable et charmant»(l.42).

Ici, le spectacle (ramassage des cartouches par Gavroche ) est épouvantable et à la fois charmant ce qui est impossible.

Enfin un dernier exemple qui est un oxymore : « Cette petite grande âme venait de s'envoler »(l.70-71).

Ici, on associe Gavroche à un une petite grande âme.

Ce qui est un contraste et qui par conséquent accentue le contraste sur lequel est bâtie le texte. Le narrateur hisse Gavroche à la hauteur d'un héros en lui donnant des caractères surnaturel par le billet des différents contraste sur le lequel est bâtie l'extrait et par le rôle qu'il joue dans l'extrait.

Ainsi, la métaphore où Gavroche est comparé à un moineau : «C'était un moineau, becquetant les chasseurs.»(l.43-44) lui donnent des pouvoirs surnaturels qui est celui d'être un moineau qui peut becqueter un chasseurs.Il est également comparé à Antée, un géant de la mythologie grecque qui retrouvait ses forces au contact de la terre : «Toute la barricade poussa un cri ; mais il y avait de l' Antée dans ce pygmée ; pour le gamin toucher le pavé, c'est comme pour le géant toucher la terre ; Gavroche n'était tombé que pour se redresser »(l.59-62).

Cette comparaison lui donne les caractères surnaturel d'un géant en particulier les caractères surnaturel de Antée qui. »

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