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La délinquance affecte particulièrement les jeunes. Après avoir dit quelles formes elle peut prendre, vous proposerez trois idées qui pourraient entrer dans un programme de lutte contre ce fléau.

Publié le 22/02/2012

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< Introduction > Une bande de délinquants surexcités incendient des voitures dans une banlieue de Paris ou de Lyon ; des jeunes armés de barres de fer cassent des vitrines ; un motard arrache son sac à une paisible grand-mère qui traversait la rue : l'actualité est pleine de ces faits divers qui soulignent le profond malaise d'une partie de la jeunesse. Souvent chômeur, banni de la société, un délinquant est comme un navire sans gouvernail : il dérive au gré du vent. Pour lui, pas d'avenir : l'échec scolaire, le ghetto des banlieues, voilà son lot... Sa honte et son exaspération prennent bientôt la forme du crime : agressions, cambriolages, vandalisme, trafic de drogue, vols de voitures ou de mobylettes, racket..., tels sont les méfaits commis par ces jeunes qui menacent l'ordre public. Pourtant, la police veille : pour garantir la sécurité des villes ou des banlieues, elle procède à des contrôles d'identité, fait des rondes, arrête les fauteurs de trouble. De son côté, la justice et les associations tentent de remettre sur le droit chemin ceux qui ont failli. Mais ni la prévention ni la répression ne semblent donner de résultats. Alors que faire ? Voici trois propositions : l'animation de centres de loisir, le sport, le rachat.

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