Le classicisme

« Voici quelques artistes de ce mouvements, il y en a évidemment d'autres mais en voici quelques un :   Peintre : Nicolas Poussin, Estache le Sueur, le Lorrain de son vrai nom Claude Gelée Littérature : Jean de la Fontaine, Jean Racine, Pierre Corneille Musiciens : Jean baptiste Lully, Marc Antoine Charpentier Architecte : Pierre Lescot, Philibert Delorme, Jean-Bullant OEuvres de ce mouvement : Le triomphe de Neptune par Nicolas Poussin Les fables de Jean de la Fontaine La place de la concorde à Paris de Pierre Lescot Et ce que vous entendez là, c'est la marche des turcs de Lully, c'est une musique écrite pour la représentation d'une pièce de Molière « Le bourgeois gentilhomme »   La vie de Molière : Molière de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin est née le 15 janvier 1622 à Paris.

C'est le fils d'un riche marchand tapissier, fournisseur officiel de la Cour du roi ! Il poursuit des études de droit et devient avocat puis il renonce contre l'avis de son père afin de devenir comédien.

Il fonde avec sa maitresse Madeleine Béjart, une compagnie théâtrale : « l'illustre théâtre ».

 C'est à ce moment qu'il prend le pseudonyme de Molière, on ne sait les raisons de ce choix.

Mais cette troupe fait faillite au bout de quelques années, JBP est emprisonné pour dettes, il est libéré grâce à l'intervention de son père.

La même année il rejoint la troupe de Charles Dufresne et quitte Paris pour se produire en province durant 13ans ou au cours du temps il deviendra le directeur de cette troupe.

En 1658, il revient à Paris pour jouer Nicomède et Le Dépit amoureux devant le roi.

C'est la pièce Les Précieuses ridicules (1659) qui lui apporte la célébrité.

Molière obtient du roi la salle du Petit-Bourbon puis celle du Palais-Royal (à partir de 1660) où il remporte de nombreux succès en tant qu'auteur, acteur et directeur de troupe.

Tartuffe, jouée pour la première fois en 1664 à Versailles, pièce dans laquelle il critique l'hypocrisie des faux dévots, fait scandale.

La pièce est interdite par le roi sous la pression des dévots qui se sentent visés.

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