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Le vicomte Médard

Publié le 15/11/2015

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Lundi 6 Janvier 2014 Français Note Observation Signature Chapitre VII : 1) Trelawney se remet à la médecine après que le vicomte Médard lui ai posé une question par rapport à une sensation qu’il avait dans sa jambe comme s’il avait trop marché : « -Jamais je ne lui avais vu un tel intérêt pour une question de médecine humaine.» 2) Le Docteur Trelawney était fasciné par les feux follets. Médard tue une dizaine de paysans, les enterre dans la fosse commune et chaque nuit, le cimetière projette beaucoup de feux follets. « Le vicomte condamna a mort une dizaine de paysans […].Les mort durent enterrés dans la fosse commune et, chaque nuit, le cimetière projeta d’abondants feux follets. Bien que la trouvant très utile pour ces études, le docteur Trelawney était épouvanté de cette aide.» C’est comme ça que le docteur a renoué avec la science. 3) C'est tout, à travers l’épisode que l’on est témoin de la dualité qui règne car au lieu d’essayer de tuer son neveu il lui a sauvé la vie. Mais son neveu a du mal à y croire. « Médard : J’ai avancé la main et elle m’a piqué Neveu :Je n’en crus pas un mot ; c’était au moins la troisième fois qu’il attentait à ma vie avec des méthodes semblables… » Puis Médard décrit la libération d’une anguille.&...

« -Mais l’herbe pour guérir, dis-je.

Voilà que son expression de douceur d’auparavant avais disparu ; peut-être bien qu’en ce moment même elle revenait, mais dans un sourire tendu dont on voyait bien qu’il était forcé. Puis de nouveau le mauvais est là : il demande à son neveu de mettre la main dans un nid de guêpe. « -Oui… très bien… mets-la dans ce creux du tronc… je la prendrai plus tard, me dit-il. J’obéis et mis la main dans le creux.

C’était un guêpier.

Toutes les guêpes sortirent et m’attaquèrent.

Je me mis à courir, poursuivie par tout l’essaim et me jetai dans le torrent.

Je nageai entre deux eaux et parvins à dérouter les guêpes.

Quand je retirai ma tête de l’eau j’entendis le sombre rire du vicomte qui s’éloignait. Une fois de plus, il nous avait trompés .» Le bon côté « Des enfants perdus dans le bois se voyaient, à leur grande épouvante, rattrape par une moitié d’homme à béquille qui les ramenait cher eux la main dans la main et leur donnait des figues-fleurs et des beignets.

De pauvres veuves étaient aidées par lui à porter leurs fagots.

Des chiens mordus par des vipères étaient soignés.

Les pauvres trouvaient des dons mystérieux sur la pierre de leur fenêtre ou le pas de leur porte.

Des arbres fruitiers déracinés par le vent étaient redressés, et la terre retissée autour d’eux avant que leurs propriétaires eussent mis le nez dehors.

» Et le mauvais côte : « Des enfants étaient enlevés, et on les retrouvait prisonnier dans des grottes obstruées par des pierres.

Des éboulis de troncs et de rochers descendaient sur de pauvres vielles.

Des citrouilles tout juste mûre étaient mises en pièces pour le seul plaisir de faire mal.

» Chapitre IX : 4) Les lépreux avaient aussi à se plaindre du bon Médard, car Médard voulait soigner non seulement leurs corps mais leur âmes aussi, mettant ainsi fin aux au bonheurs des habitants de Préchampignon: «temps heureux et licencieux de Préchampignon »: « Les lépreux n’ayant plus le soulagement de leurs ripailles se trouvèrent face à face avec leur maladie et passèrent leurs soirées dans les pleurs et le désespoir ».

Et les huguenots lui reprochaient de les trahir en les espionnant « espionner le nombre de sacs qu’ils avaient dans leurs greniers » et de « les sermonner sur les prix ». Les gens de Terralba se sentaient comme désespérer « comme perdus entre une vertu et une perversité également inhumaines ».

Chapitre X : 5) a) Le Médard bon est appelé Médard le bon. Le mauvais Médard est appelé Médard l’infortuné.. »

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