Les jeunes forment-ils une sous culture ?

« On qualifie souvent de «jeunes», la partie de la population ayant moins de 18ans.

Ces jeunes composent une partieintégrante de nos sociétés occidentales, aussi les nomes t-on communément Ado.

La période de l'adolescence estcaractérisée par l'évolution à la fois physique et mentale de l'humain, le passage du statut d'enfant à celui d'adulte.

C'est aussi durant cette période que l'individu crée sa propre identité, se basant sur sa socialisation et sa catégoriesociale. Le jeunes disposent de normes, de valeurs ou rapports sociaux qui leurs sont propres. Une sous culture est un ensemble de valeurs, de normes et de comportements qui régissent un groupe.

On constateen effet chez les jeunes de nombreux points communs qui les différencient nettement de la culture des adultes.

Cescodes spécifique liés aux ados se retrouvent dans le langage, avec l'exemple du verlan, de l'argot ou du langageabrégé qui comporte des acronymes comme MDR ou LOL, ces langage qui sont a majorité spécifique aux ados fontparties intégrante de leur vocabulaire.

Le style vestimentaire est aussi un élément notable de la «culture jeune».Ainsi les vêtements dit sportwear (vêtements de style sportif) ou encore les casques audio, a l'image des casqueWesc, sont beaucoup plus porter par les ados. Mais outre les comportements, on remarque que les jeunes ont des valeurs qui supplantent les autres, comme latolérance.

Les ados sont à majorité plus tolérant que le reste de population, cela s'explique en partie par le milieudans lequel ils se développent.

Dans les collèges et lycées on trouve des jeunes de milieux sociaux très hétéroclite,les ados sont donc confronter à brassage social constant.

A l'inverse des adultes qui travaillent le plus souventavec des individus de même catégorie sociaux professionnel qu'eux (PCS). On peut donc dire que les jeunes possèdent des points communs qui leurs sont propres et qui les différencient dureste de la population. En outre on constate chez les ados la naissance non seulement d'un statut mais aussi de normes et devaleurs indépendante de la culture de leurs parents. En effet, les jeunes ont moyens de s'exprimer a travers des gouts et des pratique culturels qui leurs sontspécifiques et communes.

On peut alors parler d'homogénéité culturelle surtout du point de vue de la musique car elle va permettre aux adolescents d'avoir le sentiment d'appartenir à un groupe social.En effet les jeunes se démarquent entre autres par la musique.

On remarque d'ailleurs l'importance de la musiquedans leur vie de part la consommation qu'ils en ont.

Comme le prouve une enquête menée par le nouvelObservateur, les français de 14 à 20 écoutent plus de musique et joue plus souvent d'un instrument que l'ensemblede la population.

De même plus aucun lien entre les préférences des jeunes pour certains genres de musique et leurs originessociales car peu importe le niveau social, l'âge ou l'éducation, le seul point de rassemblement commun a tous les adolescents est l'attrait pour une nouvelle forme musicale.

Pour acquérir un certain statut on utilise un certainnombre d'accessoires culturels liés à la musique pour affirmer ses valeurs et son style.

La musique permet auxadolescents en pleine construction identitaire d'avoir le sentiment d'appartenir à un groupe.

Il semble donc évident qu'il existe une sous-culture jeune possédant ses propres valeurs, son propre langage, sespropre caractéristique.

De plus cette sous-culture jeune se démarque de la culture et des pratiques culturelles etsociales de ses ainées.

On peut donc en conclure que malgré leurs socialisations et leurs catégorie sociales lesjeunes forment un groupe unis que l'on appel sous-culture jeune.

Dans lequel on trouve néanmoins certainesdisparités ... II.

...

Néanmoins cette affirmation comporte des limites. Si il existe une sous culture jeunes, a l'intérieure de cette sous culture on constate l'existence de groupes avec des règles appart a l'intérieure même de la culture jeune. En effet on remarque l'existence de petite communautés a l'intérieure même de la culture jeune.

Le plus souvent cescatégories se démarquent les unes des autres pas un looks ou un langage spécifique. Mais ces disparités sont souvent le résultat de mode et son modulable a la fois dans le temps mais aussi en fonctionde la catégorie sociale des individus.

Au sein d'un même groupe stéréotypé on remarque plusieurs niveaux qui n'ontpas réellement de points communs.

En somme il existe des tonnes de sous-groupes de jeunes selon leurs activités,leurs filières, leurs sexes, leurs âges. Ainsi les groupes peuvent être en conflit les unes avec les autres on assiste alors a un phénomène de ‘'Bandes'' cequi peut amener dans des cas extrêmes a des bagarres.. »