LITTÉRATURES ARABE ET MUSULMANE (Exposé – Art & Littérature – Collège/Lycée)
Publié le 15/05/2016
                             
                        
Extrait du document
Recherche documentaire, Pistes de travail & Axes de recherches pour exposé scolaire (TPE – EPI)
Plusieurs causes favorisent la multiplication des bibliothèques : le papier réduit le coût des livres, les intellectuels copient et traduisent des oeuvres que leurs contemporains d'Occident délaissent, à cause du prix du parchemin. De plus, lors des conquêtes musulmanes, les collections antiques n'étaient pas détruites ; le personnel des bibliothèques (les copistes, les traducteurs) était en général maintenu.
Bibliothèques d’enseignement religieux, elles sont surtout fréquentées par des étudiants.
La chute de Bagdad, en 1258, marque le début du déclin des lettres arabes.
Si la pensée des Arabes de l'Âge d'or continue à jouer un rôle de premier plan dans la vie intellectuelle de l'Occident, il faut attendre le xix* siècle pour qu'un renouveau littéraire voit le jour en Orient.
Enfin, il a de tout temps été de bon ton pour les dirigeants musulmans d'être cultivés, avant d’être des chefs de guerre. Les puissants du monde arabe finançaient des « maisons de la sagesse » et subventionnaient les étudiants méritants de bourses. Entre 750 et 1258, sous les Abbassides, Bagdad comptait plus de trente-six bibliothèques.
• Les bibliothèques califales
La forme caractéristique de la poésie pré-islamique est la qasidah, poème à rime unique, dépassant rarement cent vers, qui décrit la vie des tribus nomades. La qasidah se compose de trois temps : le poète décrit d'abord sa douleur de quitter le camp, liée à la séparation amoureuse ; puis viennent les difficultés du voyage, occasion de louer la valeur de sa monture ; le poème se termine par l'affrontement avec une tribu ennemie. Courtes œuvres d'inspiration épique, elles témoignent du rôle social du poète, témoin de la vie et garant de la mémoire d'une tribu. Les qasidah restent populaires après l'avènement de l'islam et sont, encore aujourd'hui, un modèle pour les poètes de langue arabe.
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                                                                                                                            LA PHILOSOPHIE n LES SCIE	NCES 	Les écoles 	de droit 	et de théologie 	gagnent 	en influence	, et les intellectuels 	cherchent 	à relier 	la philosophie 	antique 	et les exégèses 	islamiques.
                                                            
                                                                                
                                                                    	On redécouvre 	les penseurs 	grecs, 	en 	philosophie	, médecine, 	mathématiques 	ou histoire.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Les principaux 	philosophes 	issus 	de ce courant 	sont 	Al-Farabi 	{870-950)	, Al-Ghazali 	{1058-1128) 	et Ibn Arabi 	(1165-1240)	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
Bngdnd 	devient 	le centre 	du savoir 	encyclopédique	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Les travaux 	des 	savants 	serviront 	de base 	à la renaissance 	philosophique 	de l'Occident 	au x111' siècle.
                                                            
                                                                                
                                                                    	De cette 	époque 	datent 	les deux 	hommes 	de lettres 	les plus 	influents 	du Moyen 	Âge 	arabe	, Avicenne 	et Averroès	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	• Avicenne 	Médecin	, philosophe 	et exégète 	iranien 	(980-1037)	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Ses 	écrits 	étaient 	le seul 	accès 	à la pensée 	d'Aristote 	pour 	les 	chrétiens 	du Moyen 	Âge.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Ses 	préceptes 	en médecine, 	hérités 	d'Hippocrate 	et 	Galien, 	furent 	suivis 	jusqu	'au XVI' siècle.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Il rédigea 	Le conon 	de la médecine 	et La philosophie 	illuminotive.
                                                            
                                                                                
                                                                    	• Averroès 	Philosophe 	et 	mathématicien de Cordoue (1126-1198).
                                                            
                                                                                
                                                                    Averroès 	est un 	des 	grands 	commentateurs d 'Aristote 	et va 	contribuer 	au 	bouleversement 	de l'enseignement 	dans 	le monde 	chrétien	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Dès 	le début 	du Xlii ' siècle	, les textes 	d'Averroès 	sont 	étudiés 	et donnent 	lieu 	en Occident 	à 	d'intenses 	disputes 	philosophiq	ues où 	le raisonnement, 	plus 	que 	la foi, tient 	toute 	sa place	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
LA TRADITIO N DES  BIBLIO	TH tQUES 	Plusieu	rs causes 	favorisent 	la multiplication 	des 	bibliothèques 	: 	le papier 	réduit 	le coût 	des 	livres	, 
l	es intellectuels 	copient 	et traduisent 	des 	œuvres 	que 	leurs 	contemporains 	d'Occident 	délaissent, 	à cause 	du 	prix 	du parchemin	.
                                                            
                                                                                
                                                                    De plus, 	lors 	des 	conquêtes 	musu	lmanes, 	les collections 	antiques 	n 'étaient 	pas 	détruites	; 	le personnel 	des 	bibliothèques 	(les 	copistes	, les trndudeurs	) était 	en général 	maintenu	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
Enfin	, il a de tout 	temps 	été de bon 	ton 	pour 	les dirigeants 	musulmans 	d'être 	cultivés, 	avant 	d'être 	des 	chefs 	de 	guerre.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Les 	puissants 	du monde 	arabe 	finançaient 	des 	" maisons 	de la 	sagesse 	» et subventionnaient 	les étudiants 	méritants 	de bourses.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Entre 	750 	et 1258	, sous 	les Abbassides, 	Bagdad 	comptait 	plus 	de trente-six 	bibliothèques	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	• Les 	biblioth	èques 	califal	es 	
Centres 	de synthèse 	de tous 	les savoirs	, 	philosophiques	, scientifiques 	et religieux	, 	elles 	sont 	des 	lieux 	de collecte, 	de 	diffusion	, de copie 	et de traduction	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Elles 	possèdent 	leurs 	services 	de 	libraires	, de copistes 	et de relieurs	, 	leurs 	académies 	de traduction 	et 	un réseau 	de libraires-correspondants	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Elles 	mènent 	une 	politique 	d'acquisition 	ambitieuse	, qu'il 	s'agisse 	d 'échanges 	pacifiques 	ou de prises de guerre	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Un effort 	fut mis 	en œuvre 	à partir 	du IX' siècle 	pour 	collecter 	les textes 	grecs 	antiques	, dont 	beaucoup 	ne nous 	f------------	--1 	sont 	connus 	aujourd	'hui que 	par 	des 	TRADITION 	ARABE 	ET 	LITTÉRATURE 	OCCIDENTALE 	Bien avant 	la diffusion 	des 	Mille et U ne 	Nuits 	en Occident 	l'Orient 	et les contes 	arabes 	ont 	fasci	n é  les auteurs d'Europe.
                                                            
                                                                                
                                                                    	La poésie 	des 	troubadours 	d'Aquitaine 	doit 	beaucoup 	à celle 	des 	aute urs 	arabes 	d'Espagne.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Il existe 	probablemen	t une 	influence 	arabe 	(avec 	q ui les croisés 	étaie	nt 	souve	nt en contact) 	dan s 	le thème 	d e 	l'amour 	courtois:  La n	celo t et Guenièvre 	ou Tristan et Iseut.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Dante reprend 	des 	détails 	de l'ascension 	du prophète 	Mahomet 	dans 	sa Divin e Comédie.
                                                            
                                                                                
                                                                    	C'est 	chez 	Shakespeare 	que l'arabis	m e 	est le plus 	marqué.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Le Marcha	nd de 	Venise 	met 	en scène 	un prince 	du 	Maroc, et Othe/la 	est un prince maure	.
                                                            
                                                                                
                                                                    
L a 	mode 	orienta	le à la cour 	de la  reine 	Élisabeth 	y mêle 	des éléments 	a rabes, 	perses 	et indiens.
                                                            
                                                                                
                                                                    	L'intrigue 	des 	Mille 	et Une N uits, 	officiellement 	traduites 	en Occi	dent 	au XVII' siècle, 	a san s  do	ute i nspiré, 	au XIV' siècle, 	les Contes d e  Ca	nterbury 	de Chaucer, 	le  D	écoméron de Boccace 	et plus 	tard, 	Voltaire 	ou Byron, 	ainsi 	que 	la mode 	de l'orientalisme.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
traductions 	arabes 	de cette 	époque.
                                                            
                                                                                
                                                                    	La bibliothèque 	califale 	de Cordoue 	compte 	au X' siècle 	près 	de 400 	000 	volumes	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	• Les 	b iblioth	èques 	de mosquées 	Elles 	tiennent 	à la disposition 	du public 	des 	exemplaires 	du Coran 	et des 	textes 	profanes 	à vocation 	édifiante.
                                                            
                                                                                
                                                                    	• Les 	madrasas 	
Bibliothèques 	d 'enseignement 	religieux, 	elles 	sont 	surtout 	fréquentées 	par 	des 	étudiants	.
                                                            
                                                                                
                                                                    
la 	chute 	de Bagdad, 	en 1258	, marque 	le début 	du déclin 	des 	lettres 	arabes.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Si la pensée 	des 	Arabes 	de l'Âge 	d'or 	continue 	à jouer 	un rôl e de premier 	plan 	dans 	la vie intellectuelle 	de 	l'Occident	, il faut 	attendre 	le X IX' siècle 	pour 	qu'un 	renouveau 	littéraire 	voit 	le jour 	en Orient.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
XIX' -XX	' SIÈCLE	: LE RÉVEIL 	
Le xiX' siècle 	est l'époque 	du renouveau	, 	de /'oi-Nohdo 	(« le réveil 	»).
                                                            
                                                                                
                                                                    L'imprimerie 	apparaît 	au Caire, 	Beyrouth 	et Damas	.
                                                            
                                                                        
                                                                    	Son 	développement 	est t imide	, 	et si on publie 	des 	journaux 	et 	des 	encyclopéd	ies, les auteurs 	littéraires 	cherchent 	leur 	place 	entre 	les anciens 	(on 	note 	un retour 	aux 	sources 	antérieures 	au X lii ' siècle) 	et la modernité 	(recherche 	de formes 	et de thèmes 	nouveau	x.
                                                            
                                                                                
                                                                    souvent 	issus 	de l'Occident	).
                                                            
                                                                                
                                                                    A cet égard	, le Roman 	de Ba ybars	, qui retrace 	la vie de 	ce sultan 	mamelouk 	du xm• siècle	, 	symbolise 	le travail 	d 'enregistrement 	de la littérature 	populaire 	qui débute 	à cette 	époque	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	C'est 	aussi 	l'époque 	du développement 	du journalisme	, des 	écoles	, 	des 	universités 	et des 	Académies	, 	
à Damas 	(1921) 	et au Caire 	(1932	).
                                                            
                                                                                
                                                                    	Une 	littérature 	engagée 	voit 	aussi 	le jour	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
son influence 	participe 	à la naissance 	du mouvement 	réformiste	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Ses 	figures 	principales 	en sont 	Djamal 	al-Din 	al-Afghani 	(1839-1897)	, Qasim 	Amin 	(1865-1908	) , Rachid 	Rida 	(1865	-1935	).
                                                            
                                                                                
                                                                    	La modernisation 	de la langue 	arabe 	passe 	par 	l'édition 	de dictionnaires 	(Ahmad 	Faris 	ai-Chidyaq	, 1804-1887	; 	Butrus 	ai-Bustani, 	1819-1883	) et 	d'encyclopédies	.
                                                            
                                                                                
                                                                    Des 	œuvres 	de la 	littérature 	occidentale 	sont 	traduites 	en arabe 	: 1'1/iode	, par 	Sulayman 	ai-Bustani 	{1856-1925	), ou la Bible	, 	par 	Nasif 	ai-Yazidji 	(1800-1871}	.
                                                            
                                                                                
                                                                    
L e 	dilemme 	entre 	anciens 	et modernes 	débouche 	sur une 	langue 	moderne, 	l'« arabe 	médian 	», que 	défend 	dès 	1930 	Tawfiq 	al-Hakim	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
fACE 	À L'OCCIDEN	T 	• La poés	ie 	la poésie 	se renouvelle 	dans ses 	thèmes 	et sa structure, 	surtout 	en 	Égypte 	avec 	ai-Barudi 	(1838-1904	), 	Ahmed 	Chawqi 	{1868-1932)	, le" prince 	des 	poètes 	» , Khalil 	Mutran 	(1872	-1949} 	; 
e n 	Irak, 	avec 	Az-Zahâwi 	(1863-1936	) 	et Rusafi 	(1875-1945).
                                                            
                                                                                
                                                                    	A partir 	de 1880	, 	des 	poètes 	émigrent 	en Amériq	u e  : 	c'est le mahdjar 	(littérature 	de l'exil)	.
                                                            
                                                                                
                                                                    La 	
(1883-1931)	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
connaissance directe 	des 	littératures occidentales renouvelle les thèmes et les formes, 	comme 	chez 	le Libanais Khnlil 	Cibrnn 	
• Les 	romans 	elles 	nouvelles 	Le roma	n et la nouvelle	, introduits 	dans 	le monde 	arabe 	lors 	de la 	conq	uête de l'Égypte 	par 	Bonaparte	, 	se concrétisent 	par 	des 	œuvres 	historiques, 	comme 	celles 	du libanais 	Djurdji 	Zaydan 	{1861-1914	) .
                                                            
                                                                                
                                                                    	
En Égypte	, Muhammad 	Husayn 	Haykal 	(1888-1956	) écrit 	la première 	grande 	œuvre 	romanesque 	arabe	, Zoynob 	{1914)	, et Manfaluti 	(1876-1934) 	tire 	de l'histoire 	arabe 	des 	biographies 	romancées.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Dans 	les années 	1920-1940, 	vie quotidienne 	et personnelle 	sont 	au 	centre 	des 	romans 	des 	Libanais 	Marun 	Abbud 	{1886-1962) 	et Mikhail 	Nuayma 	(1898-1989}	, et des 	Égyptiens 	Tawfiq 	al-Hakim 	(1898	-1987) 	ou Taha 	Husayn 	(1889-1973}.
                                                            
                                                                                
                                                                    Après 	la Seconde 	Guerre 	mondiale, 	le réalisme 	prend 	son 	essor 	avec 	les Égyptiens 	Djamal 	ai-Ghitani	, 	Abd 	al-Rahman 	ai-Charqawi 	et la vie 	paysanne égyptienne dans 	la Terre 	(1954), 	et 	Nndjib Mnhfuz	(né 	en 1911), 	qui 	publie 	entre 	1956 	et 1957 	sa trilogie 	décrivant 	trois 	générations 	de Cairotes 	(Impasse 	des 	deux 	palais 	; le Palais 	du 	désir; 	la Suaerie)	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Le genre 	se développe 	aussi 	en Irak, 	avec 	Dhu 	ai-Nun 	Ayyub	, gagne 	le Liban	, 	avec 	l'auteur 	féministe 	Layla 	Baalbaki 	(Je vis! , 	1958}, 	puis 	le Soudan 	(Attayyeb 	Salih) 	et la Syrie 	(Abd 	al-Salam 	ai-Udjayli	, Zakariyya 	Tamer)	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	• Le théât	re 	Venu 	d'Occident	, le théâtre 	démarre 	avec 	AI-Bakhil 	(une 	adaptation 	de l'Avare)	, par 	le Libanais 	Marun 	ai-Naqqach, 	représentée 	à Beyrouth 	en 1848	.
                                                            
                                                                                
                                                                    En Égypte	, Muhammad 	Taymur 	(1891-1921) 	écrit 	des 	comédies 	sociales 	et théorise 	le théâtre 	naissant.
                                                            
                                                                                
                                                                    	La première 	troupe 	arabe 	professionnelle 	est fondée 	en 1912, 	au Caire, 	par 	Georges 	Abyad	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Au xX' s iècle, Tawfiq 	al-Hakim 	domine 	la 	production 	arabe, 	avec 	un théâtre 	de 	langue 	classique	, mais 	inspiré 	par 	le 	théâtre 	grec 	classique 	et les auteurs 	contemporains 	: Ionesco, 	Beckett.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
Aujourd'hui, 	l'expression 	littéraire 	de la Nahda, 	la culture 	arabe	, témoigne 	d 'une 	grande 	vitalité 	: multiplicité 	des 	genres	, des 	styles 	et des 	origines 	(pays 	du Maghreb	, Soudan)	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Les 	romanciers 	égyptiens 	tels 	que 	Hafiz 	Ibrahim 	se font 	connaître 	hors 	du monde 	arabe	.
                                                            
                                                                                
                                                                    De nouveaux 	genres, 	comme 	l'autobiographie, 	gagnent 	les faveurs 	du public.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Celle 	de Ta ha 	Husayn	, publiée 	de 1920 	à 1960, 	monume	n t de la prose 	arabe 	moderne, 	est un témoignage 	poignant 	(l'auteur 	devient 	aveugle)	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	
LA POÉSIE 	la poésie 	arabe 	contemporaine 	exprime 	les aspirations 	du peuple 	chez 	l'Égyptien 	Amal 	Danqal 	(1940-1983)	, 
l '	Irakien 	ei-Bayati 	(Poèmes 	d 'amour 	des 	sept 	portails 	du monde	, trad	.
                                                            
                                                                                
                                                                    fr.
                                                            
                                                                                
                                                                    	1981 	), ou le Palestinien 	Mahmoud 	Darwich, 	poète 	de la patrie 	perdue 	(Rien 	qu'une 	autre 	année	, 1966	/1982, 	trad.
                                                            
                                                                                
                                                                    	fr.
                                                            
                                                                                
                                                                    1983}	.
                                                            
                                                                                
                                                                    	Poésie 	d'avant-garde, 	symbolisme 	et 	surréalisme 	apparaissent 	à Beyrouth 	dans 	le groupe 	Chi'r et chez 	le Libanais 	Ali Sa7d	, Adonis 	(le Livre 	de 	la migration	, trad.
                                                            
                                                                                
                                                                    	fr.
                                                            
                                                                                
                                                                    1982	).
                                                            
                                                                                
                                                                    	
Tradition 	et modernité 	trouvent 	un équilibre 	subtil 	chez 	les Irakiens 	Nazik 	ai-Mala	"1l.
                                                                                                                    »
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