L'objectif premier de la littérature est-il de permettre à l'homme d'appréhender au mieux son environnement de vie ?

« les imperfections sans essayer de parfaire quoique ce soit.

Ce qui permet au lecteur de mieux comprendre son monde vu que la réalité est mise à nu.

Par exemple, lorsqu'on lit Le père Goriot d'honorer de Balzac, on se rend compte que Balzac approche au mieux le réel.

En décrivant pension Vauquer, et en nous faisant découvrir Mme Vauquer, on comprend aisément que la pension reflète la triste et dure réalité de son propriétaire.

Mieux, dans La peste de Camus, aujourd'hui on se rend compte que Camus d'écrivait autrefois la réalité du monde actuel, avec la maladie du corona virus.

A l'intérieur, la peste commence tout comme la pandémie qui nous touche actuellement à commencer, de la mort de quelque personne au confinement de toute la ville d'Oran. De plus, Elle nous apprend des leçons de vie.

Bien entendu, tel un enseignant devant ses élèves, la littérature nous apprend les rouages et les mécanismes de ce monde.

Au travers des leçons de vie et de morale, on comprend mieux certaines situations, et on à la possibilité de contrer certaines conséquences néfastes.

Car ayant déjà comme qui dirait, été mis en garde.

Comme avec les fables de la Fontaine, il y a toujours au sortir de chaque fable une leçon de vie et d'apprentissage à tirer.

Soit « tous flatteurs vit au dépend de celui qui l'écoute » et/ou « travailler et prenez de la peine ».

Aussi, dans la comédie satirique de Molière l'école des femmes, on apprend certaines leçons de morale telles que : l'amour et le mariage ne tienne que dans une relation d'égale à égale, et une célèbre réplique de Chrysalde à Arnolphe « oui, mais qui rit des autres doit craindre qu'on rit aussi de lui » Bien plus, elle expose à l'homme les tares de la société.

En effet, dans la société dans laquelle on vit, il y a beaucoup de travers.

Et pour certains écrivains, il va de soit que l'homme du commun en soit informé en temps et en heure, en vue de mieux scinder son environnement.

On ne peut pas comprendre quelque chose sur laquelle on a aucune information, c'est dans cet optique que la littérature des idées expose et dénonce tous les à-côtés de la société.

Par exemple, dans le dernier jour d'un condamné de Victor Hugo, il dénonce la peine de mort, ou encore dans Guernica de Picasso, dans laquelle il dénonce les bombardements de la ville de Guernica qui venait de se produire. Il est vrai que la littérature à pour fonction d'aider l'homme à comprendre son environnement mais est-ce pour autant la principale ?. »