Devoir de Philosophie

Quelques pistes de lecture: « Stupeur et tremblements », Amélie Nothomb

Publié le 30/09/2011

Extrait du document

lecture

I) L'incipit de"Stupeur et tremblements" d'Amélie Nothomb.

Il présente l'organisation de la société et relate l'arrivée d'Amélie au sein de la firme japonaise. Sommaire I) Le préambule explicatif II) Le début du récit avec l'arrivée d'Amélie dans l'entreprise II) Fiche de lecture de l'oeuvre « Stupeurs et Tremblements « d'Amélie Nothomb (éditions Albin Michel).

L'auteur dénonce les failles du système érigé en modèle managérial japonais. Les firmes japonaises sont considérées dans le monde entier comme un archétype d'intelligence, de progrès et de courage. 

lecture

« « Stupeur et tremblements » (Amélie Nothomb) 4 ième technique de qualification II) Personnages principaux A.

Hiérarchie B.

Principaux personnages C.

Schéma actanciel III) Jugement personnel A.

Avez-vous aimé ce livre ? B.

Qu'est-ce qui vous a le plus intéressé ? C.

Conseilleriez-vous la lecture de ce livre ? Pour quelle(s) raison(s) ? D.

Passages appréciés A LIRE : Quelques caractéristiques de la société japonaise Une famille japonaise - Un ou deux enfants tout au plus en général ; des maisons modernes (voire d’architectes) . - Manque d’espace surtout dans les villes, et les couples vivent de moins en moins avec leurs parents (comme c’est l’habitude par le passé). - Le but de la plupart des Japonais est d’avoir leur propre maison ; c’est horriblement cher au Japon alors ils louent à plusieurs ; dans la famille, on distingue les « intérieurs » (uchi) et les « extérieurs » (soto) => les père et mère / les tantes, oncles, etc … - Age de mariage : en moyenne pour les Japonais : hommes = 28, femmes = 23,5 ; si une femme n’est pas mariée à 30 ans, elle est perdue aux yeux de tout le monde = déshonneur pour sa propre famille ; le divorce, même s il commence à être admis par contamination du monde occidental, est encore mal vu et peut aller jusqu’ au rejet ou bannissement de son propre enfant qui divorce. - Dans les plupart des familles , la femme fait tout elle-même sans aide ; la plupart travaillent , jusqu’ à ce qu’ elles aient des enfants ou soient mariées ; même si mari et femme travaillent, les femmes font la majorité du travail à la maison même si , aujourd’ hui, les jeunes couples tentent de partager les tâches ; la société n’ est pas conçue pour le travail des femmes , car très peu de nurseries ou garderies pas faciles à trouver . - Les entreprises paient les employés au mois, mais c’est la femme qui s’occupe des finances et donne son argent de poche au mari, mais l’un et l’autre ont leurs secrètes économies. - Après le travail qui finit tard, les hommes vont boire un verre avec leurs collègues de travail, c’est exceptionnel pour un homme d’avoir un dîner avec sa famille en semaine , en revanche, le week-end, il reste davantage près de sa famille ; un homme voit très peu sa famille , d’ autant plus que son entreprise l’ envoie souvent travailler dans une autre ville sans être accompagné , pour éviter l’interruption des études des enfants avec de fréquents déménagements.

Beaucoup d’hommes mariés travaillent à l’étranger pendant des années. Les entreprises sont fondées sur des rapports hiérarchiques beaucoup plus marqués qu’en Occident « meshita » = inférieur, subordonné.. »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles