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Rousseau (Jean-Jacques)

Publié le 17/01/2022

Extrait du document

 

Vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne!

Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes



La nature a fait l'homme heureux et bon.

[...]

La société le déprave et le rend misérable.

Rousseau Juge de Jean-Jacques

Pour Rousseau, l'homme est naturellement bon.

 

« sorte d'Inquisition tâtillonne qui contrôle la vie privée des habitants.

La fierté du Genevois Jean-Jacques repose donc sur des illusions.

Mais ce qui compte.

ce n'est pas tant la réalité politique à Genève.

que l'idée que Rousseau s'est faite de lui-même et de sa patrie en face de la monarchie absolutiste française.

Sa mère est morte quand il est venu au monde.

Le père.

de caractère instable.

quitte Genève.

et cesse de s'occuper de son fils.

L'enfant est mis en pension chez un pasteur qui, pendant deux ans au plus, dirige les seules études régulières que Jean-Jacques ait jamais faites sous la surveillance d'autrui.

Puis il entre en apprentissage.

d'abord chez un greffier.

ensuite chez un graveur.

Dure condition que celle d'apprenti sous 1 'ancien régime.

Exploité par le maître, on est égale­ ment brimé par les compagnons.

L'enfant fait l'expé­ rience de l'oppression.

Il se défend avec les moyens en son pouvoir.

et devient un chenapan.

Au bout de deux ans il s'enfuit de Genève.

Comme son père.

c'est un instable.

Très sensible.

i 1 est 1 'esclave de la sensation du moment.

Incapable de s'astreindre longtemps à une tâche imposée par autrui.

jaloux de sa liberté.

il essaie bien des métiers.

(on en a compté quatorze).

se déplace fréquemment en Savoie.

au Piémont.

en Suisse ...

Il a recours.

pour vivre.

à des expédients.

A Turin.

il se convertit au catholicisme.

vraisemblablement dans l'espoir que l'Eglise lui assurera son pain.

Espoir vite déçu.

Il se fait laquais ; ses maîtres ayant remarqué ses dons intellectuels.

il pourrait devenir 1 'homme de confiance d'une puissante famille piémontaise.

mais à la stabilité.

i 1 préfère la vie d'aventures et s'en va.

Il devient pas­ sionné de musique.

et bien avant de la savoir, i 1 se met à 1 'enseigner.

Dans cette vie errante.

il a pourtant un point d'attache : la demeure de Mme de Warens.

en Savoie.

chez qui il trouve un abri contre la misère et où ii. »

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