LES HOMMES ET LE FEU : Comment Les mortels se rendirent maîtres du feu
Publié le 21/09/2013
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Dans la légende grecque, le récit met en scène Prométhée,
qui dérobe le feu aux dieux pour en faire don aux hommes, et en
est cruellement puni. Ce mythe a fait l'objet d'innombrables
versions, dont on peut dégager cependant les traits communs.
Fils du Titan Japet et de l'Océanide Clyméné, Prométhée, dont
le nom signifie« celui qui prévoit« est un géant bienveillant
dont la puissance inquiète le maître de l'Olympe, toujours
jaloux de son pouvoir. Zeus, dont Prométhée a prédit la victoire
au cours de la lutte qui a opposé les Olympiens aux Titans,
le charge cependant de créer la vie sur terre.
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- « Il me semble que nous soyons parvenus à cette époque prédite par Descartes où les hommes em-ploieraient la force et les actions du feu, de l'eau, de l'air, des astres et de tous les autres corps, en même façon que les métiers d'artisan et se rendraient ainsi, maitres de la nature. Mais, par un renversement étrange, cette domination collective se transforme en asservissement dès que l'on descend à l'échelle de l'individu et en un asservissement assez proche de celui que comporte la vi
- Un savant, invité à préciser l'influence que lui semblait pouvoir exercer sur le bonheur de l'humanité le progrès scientifique, formulait la réponse suivante : La science est aveugle elle est capable de servir tous les maîtres et de répondre à tous les appels, à ceux de la violence aussi bien qu'à ceux de la charité et de la justice; c'est une esclave sans âme, se prêtant à tontes les fins, travaillant indifféremment au malheur et au bonheur des hommes. Expliquez, commentez et au beso
- Un savant invité à préciser l'influence que lui semblait pouvoir exercer sur le bonheur de l'humanité le progrès scientifique, formulait la réponse suivante : La science est aveugle elle est capable de servir tous les maîtres et de répondre à tous les appels, à ceux de la violence aussi bien qu'à ceux de la charité et de la justice; c'est une esclave sans âme, se prêtant à toutes les fins, travaillant indifféremment au malheur et au bonheur des hommes. Expliquez, commentez et au besoin
- Les hommes sont-ils maîtres de leur propre destin ?
- Un savant, invité à préciser l'influence que lui semblait pouvoir exercer sur le bonheur de l'humanité le progrès scientifique, formulait la réponse suivante : « La science est aveugle elle est capable de servir tous les maîtres et de répondre à tous les appels, à ceux de la violence aussi bien Qu'à ceux de la charité et de la justice; c'est une esclave sans âme, se prêtant à toutes les fins, travaillant indifféremment au malheur et au bonheur des hommes. » Expliquez, commentez et au b