La crise des migants

« N’étant qu’un individu comme les autres, le journaliste ne détient donc aucunement la vérité.

Il ne fait qu’interpréter une réalité, qu'il perçoit et oriente à sa manière, «qui renforce le décalage entre la réalité empirique du phénomène et le récit qui en ai fait.

D'ailleurs, l'actualité en elle-même est la plupart du temps fabriquée, influencée par des professionnels (via leurs relations presses et la pertinence de leurs documents officiels comme le communiqué ou le dossier de presse).

Certains pays d'Europe comme la Grande-Bretagne « n'hésitent plus à pratiquer la xénophobie d'Etat » sous l'impulsion des médias. Le paradoxe, c'est que le grand public, lui, comprend l’information qu’on lui donne comme une vérité indiscutable, alors que la crise migratoire que traverse l'Europe actuellement n'est pas la plus importante qu'elle est connue comme on nous le laisse sous-entendre.

En effet l'Europe n'a accueilli « à peine plus de 10% » des réfugiés sur les quatre millions.

Pour lui, l’influence des médias est telle qu'il ne cherche pas à discuter le fondement des affirmations lues, entendues ou vues sur un écran.

Les médias ayant pour fonction de relater ce qui se passe autour de nous, nous tendons à leur accorder une confiance aveugle. Le traitement médiatique de l'information, quant à la crise des migrants est très subjectif et cela a une répercussion direct sur les masses et influence en grande partie notre opinion politique et exerce une espèce de pression sur l'agenda politique. Les médias agissent donc sur la perception que l'opinion public peut se faire sur l'information mais en aucun cas elle ne dicte mais peut influencer la politique à mener même si on peut considérer les médias comme le « quatrième pouvoir » et que le monde politique et des médias sont liés. Le vrai problème est de savoir comment peut on faire confiance à des médias, gérés par des « puissants » qui entretiennent des relations très étroites avec les hauts dignitaires politiques.. »