Commentaire littéraire Maylis de Kérengal, auteure

« les années d’études au pas de charge ».

Maintenant, il n’est plus moqué mais admiré « désormais il plaît, c’est incontestable, fallait voir se promener sur lui les yeux de Rose, si bien que des peaux de vaches, jaloux de la réussite, n’hésitent plus à affirmer, ricanant, qu’il s’est fait médecin ».Il est valorisé « créatif dans la théorie que prodigieusement doué dans la pratique, flamboyant et orgueilleux ».

Virgilio Bréva est aussi ambitieux « porté par une ambition atlantique et une énergie inépuisable » mais il reste souvent « incompris ».

Le vocabulaire médical est fort présent du part sa réussite scolaire et sa réussite professionnelle « chirurgie hépatique, des spécialités qui étincelaient par la complexité».

Mais lui, il a choisis aucune de ses spécialités mais il a choisit le cœur dont ce cœur qui est définie par des métaphores «le cœur moteur» ,« la pompe qui couine qui se bouche ». Son métier est décrit de façon personnelle «Un boulot de plombier, aime-t-il dire :écouter, faire résonner, identifier la panne, changer les pièces, réparer la machine, tout cela me convient parfaitement ».

Le dernier paragraphe commence par « Virgilio a choisi le cœur pour exister au plus haut.

».

Cette phrase montre bien sa volonté de reussir dans la vie et qu’il y est parvenu en choisissant la spécialité cardiaque. En conclusion, Virgilio était au début un enfant moqué par son physique et aussi de son origine social, il est fils d’immigré et personnes ne croyaient en sa réussite universitaire ou on disait qu’il faisait médecine que pour maîtriser son corps.Mais au fur et à mesure il arrive a finir ces études major de l’internat de Paris.

Au final, il réussit à plaire et à rendre jaloux les autres de sa réussite.

Puis il choisira le cœur pour pouvoir exceller. Suite à cette analyse nous pourrons nous demander si cette excellence le permettra d’accomplir cette greffe de cœur.. »