le Pont Mirabeau

« Vers 7 à 12 : Permanence de l’amour  Le poète des rappelle l’amour ce souvenir qui reste vivant avec l’utilisation du présent  Vers 7 : double répétition « mains » et « face » montre la complicité d couple + renvoie à un bonheur partagé  Vers 8 : conjonctive « Tandis que » montre que les 2 s’aiment + que le temps qui passait n’affectait pas leur amour ni eux (puisque l’eau passait)  Vers 9 : Parallélisme avec le pont Mirabeau avec la métaphore « le pont de nos bras » ça montre l’amour fusionnel  Vers 10 : adjectif « lasse » montre que l’amour va s’estomper Allitération en « s » sonne comme une plainte Vers 13 à 18 : Souffrance de l’absence  Vers 13 : le poète de rapproche du romantisme avec la comparaison « l’amour s’en va comme cette eau courante » utilisation de la comparaison de l’eau pour désigner le temps pour l’amour qui passe  Double anaphore : « comme » 3x et « s’en va » 2x : accentue la plainte du poète désespéré de l’amour disparu  Vers 15 / 16 jeux de sonorité « vie est lente » « violente » sonorité lente qui rallonge le temps et la douleur Vers 19 à 22 : Passage du temps et permanence de la poésie  Double anaphore de nouveau : « passent les » « ni » qui résonne comme une litanie  Parallélisme entre le temps passé et les amours et la double négation « ni » montrent une même irréversibilité du temps qui passe et des amours qui s’estompent  Le déterminant possessif de « nos amours » du vers 2 change au vers 21 et devient « les amours » le poème devient donc universel et non plus personnel  Vers 22 : répétition du premier vers cela forme la création d’une boucle comme les jours et les semaines qui passent inlassablement ( pas de ponctuation accentuation de l’enchainement des vers du poème à l’image de l’eau qui coule et du temps qui passe) CONCLUSION : Le poème le Pont Mirabeau Apollinaire chante les thèmes traditionnels de l’élégie : la douleur amoureuse, le deuil du temps qui passe, la mélancolie dans une structure où les termes, les sonorités et la disposition des mots forment des correspondances.

Seule la peine de l'auteur semble demeurer face au temps qui passe .

On peut faire le rapprochement avec le poème les colchiques ou le poète évoque aussi l’amour ( et peut ètre le temps qui passe).. »