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L'hédonisme cyrénaïque

Publié le 08/11/2019

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représentation d'un objet susceptible de nous procurer une jouissance, il importe peut de savoir si cette sensation vient des sens où de l'entendement. Ce qui importe c'est simplement la jouissance que nous pouvons tirer de l'objet. La seule chose qui vaille est de savoir dans quelle mesure l'objet peut nous procurer une jouissance.
Ce ne sera pas en raison de sa qualité donc mais en raison de son intensité qu'un plaisir sera choisi plutôt qu'un autre. Il y a donc pas de hiérarchie des plaisir. Et les plaisirs qui font du mal pourront etre aussi bon que les plaisirs faisant le bien. Donc la morale envisagé du plaisir cesse d’être une morale. Elle dissocie le plaisir de la perspective téléologique du bonheur pour faire du plaisir et du plaisir seul une fin en soi.

La question qui se pose est de savoir s'il peut y avoir une norme au regard de laquelle les plaisirs peuvent êtres pesés différenciés hiérarchisés.
C'est le critère d'utilité. C'est le critère qui dans la morale épicurienne impose une règle de prudence de calcul des plaisirs. C'est ce critère de l'utilité qui permet à Spinoza de distinguer des plaisirs bons et des plaisirs mauvais. Un plaisir est bon quand il satisfait notre conatus et est mauvais lorsqu'il diminue la puissance de notre conatus. Enfin c'est un critère qui a été élevé au rang de principe central de la morale utilitariste.

« ». La deuxième implication concerne l'indifférenciation axiologique des plaisirs.

Il n'y a pas de hiérarchie des plaisirs. Le plaisir est un bien me^me s'il provient des comportement les plus inconvenants.

La qualité d'un plaisir ne dépend pas de la qualité de l'action qu'il procure. Donc si on fait du plaisir une fin , cette fin neutralise toute les différences qualitatives que l'on voudrait établir entre les plaisirs.

Cette effet d'indifférenciation est souligné par Kant.

Notre désir étant motivé par la représentation d'un objet susceptible de nous procurer une jouissance, il importe peut de savoir si cette sensation vient des sens où de l'entendement.

Ce qui importe c'est simplement la jouissance que nous pouvons tirer de l'objet.

La seule chose qui vaille est de savoir dans quelle mesure l'objet peut nous procurer une jouissance. Ce ne sera pas en raison de sa qualité donc mais en raison de son intensité qu'un plaisir sera choisi plutôt qu'un autre.

Il y a donc pas de hiérarchie des plaisir.

Et les plaisirs qui font du mal pourront etre aussi bon que les plaisirs faisant le bien.

Donc la morale envisagé du plaisir cesse d’être une morale.

Elle dissocie le plaisir de la perspective téléologique du bonheur pour faire du plaisir et du plaisir seul une fin en soi. La question qui se pose est de savoir s'il peut y avoir une norme au regard de laquelle les plaisirs peuvent êtres pesés différenciés hiérarchisés. C'est le critère d'utilité.

C'est le critère qui dans la morale épicurienne impose une règle de prudence de calcul des plaisirs.

C'est ce critère de l'utilité qui permet à Spinoza de distinguer des plaisirs bons et des plaisirs mauvais.

Un plaisir est bon quand il satisfait notre conatus et est mauvais lorsqu'il diminue la puissance de notre conatus.

Enfin c'est un critère qui a été élevé au rang de principe central de la morale utilitariste.. »

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