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Kant et les principes de la liberté et de la morale

Publié le 17/11/2011

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Jusqu'ici, on pourrait considérer les opinions morales de Kant comme une conséquence de sa théorie des idées, selon laquelle il faut toujours distinguer les aspects objectifs (ce que nous faisons) des aspects subjectifs (notre liberté, notre bonne volonté). Nous verrons mieux cela en Connaissance. Mais Kant ne se contente pas de ces généralités, il veut aussi proposer des règles pratiques de bien. Les principes de la pratique du bien. Au début de ce livre, nous avons expliqué que la philosophie nous paraît bonne parce qu'elle permet un accord entre le moi et le monde.

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« cohérence, et autres absolus.

Mais en pratique, c'est aux hommes de faire ce bien en fonction des circonstances, et alors la différence entre le bien ed_!.4~ -!Jal.

~_:vra~~~ ~~~~~ ~~~ "~~1:~~~ id,()A~~-_g~S~ .h!L~ git ~Ka!Ît -~Z>ïl-;tâ "tè' 'aooru que ces questions ne va ent 'etre posees que SI nous sommes l~~res .

Ensuite seulement , on peut distinguer les actions faites pour nous de celles faites pour le bien et par devoir.

Expliquons tout cela: La morale et la liberté.

Les hommes agissent souvent par force.

Par exemple, je suis assailli par un voleur, il me faut alors lui donner mon argent, ou me défendre autrement, mais dans un tel cas je n'agis pas libre­ ment, je suis la proie des circonstances, je n'agis ni par préférence, ni par devoir, j~g! ~~~a.! J9,rçe .

Par contre, un acte fait par préférence ou par devoir estTacte d'un agent libre: Si l'acte a été fait par *préférence ou *inclination, j'ai choisi ce que j'aimais le mieux et je me suis senti libre; si j'ai agi par *devoir, là encore j'ai fait un choix qu'on ne m'impo­ sait pas, celui du bien.

Or, manifestement les hommes sontsouvent libres, en ce sens qu'on ne les force pas physiquemëiit ~ôü -âû tr; ri;~iît à"ag li-~èl'ùne certaine manière.

Par exemple, je suis libre d'aller ce soir au cinéma, ou de rester chez moi à lire, ou même de travailler encore.

C'est à moi d'en décider.

Mais que dois-je décider? Si j'ai promis de terminer mon travail aujourd'hui, il est bien que je reste à travailler .

Si rien ne presse, il est bien que je suive mes goûts et inclinations.

Bref, on pourrait dire que ~.9.1:1 A~Y~k -~~~~Ae ~fair(! .Ç~CJY:~ _)!! ~ pla.}h f!O~{:VU ql!'auc~n~ _ o~ligation ··plus J~!!~ .JM:. «~:~!;l!EO C~!~~=-·~~!· Kant distingue donc les Q.R!i.g.a.JiQl!S de nos autres sortes de bien: *~'5~l?lig. »

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