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Le thème de l’esclavage dans la bande dessinée.

Publié le 07/09/2012

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esclavage

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•             l’enjeu pour les esclaves oubliés de Tromelin est de rendre hommage aux esclaves, l’auteur : Savoia a participé a des fouilles archéologiques sur l’ile de Tromelin avec toute une équipe d’archéologues et d’historiens, c’est ici que sa bande dessinée va prendre forme. Il va aussi faire des recherches sur le naufrage et l’équipage de l’utile (le bateau) et la culture Malgache par exemple ils ne veulent pas construire maison en pierre car dans leur culture= lieux pour les morts (voir diaporama)

 

 

Conclusion:

 

 

L’image de l’esclavage dans la BD francophone du XXème siècle à nos jours évolue car elle passe d’une représentation inexistante ou de manière détournée à des bandes dessinée qui vont traiter le thème de l’esclavage toutes de façons différentes en ayant un objectif commun : condamner l’esclavage au travers de leur arts. En effet, il est important de rendre compte des faits passés historiques pour mieux comprendre notre présent et ne pas reproduire les erreurs passées car même si l’esclavage est abolie depuis 1848 d’autres formes existent encore aujourd’hui qu’on appellera « l’esclavage moderne ».

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« • Tintin au Congo : l’Africain ne sait pas s’exprimer clairement, il vit à demi -nu .

Il e st assez naïf, gentil et docile envers le colon , Tintin. • Un marron : c’est l’histoire d’un esclave rebel, qui peut être violent, égoïste, barbare quand il est avec les marchands blancs, mais il est aussi intelligent, sensible et curieux quand il est avec sa famille .

• Les passagers du vent : l’auteur nous montre les esclaves vraiment comme des êtres humains mais un peu comme des étrangers = ils sont parfois menaçants on ne s’identifie p as à eux exemple : • Les esclaves oubliés de Tromelin : comme Les passagers du vent l’auteur a une volonté d’être au plus proche de la réalité .

D es esclaves sont abandonnés sur une île déserte , ils vont reconstruire toute une civilisation .

mais l’auteur n e va jamais les idéaliser, une certaine humilité ce qui fait qu’ils sont pas représentés comme des étranger - on s’identifie plus .

2) L’image de l’esclavage évolue au niveau de la représentation graphique. a) La stylisation des personnages permet une gran de expressivité. • Dans « Atar Gull », les traits de son visage sont très stylisés : mâchoire très prononcée, absence de pupille, pommettes saillantes.

L’auteur parvient à simplifier le dessin en supprimant les détails au profit d'une vision schématique et intense du personnage .

Il utilise également beaucoup de contraste dans les couleurs: orange, noir, blanc .

• Stéréotype colonialiste dans Tintin au Congo : l’Africain a d e grosses lèvres, un nez aplati , ce qui évoque les caricatures de l’époque (marque Banania ).

La stylisation d’Hergé permet d’être plus accessible avec des dessins très simples très épurés (utilisation de la ligne claire ).

b) Le dessin réaliste amène plus de complexité. • Les esclaves oubliés de Tromelin = une BD en deux parties : 1ère partie la vie des esclaves : couleurs sombres, beaucoup de vignettes regroupées, gros plans, mise en page plus flexible.

2ème partie : 250 ans plus tard des fouilles archéol ogiques sur l’ile ou les esclaves ont été abandonnés : dessin à l’aquarelle, plan large, dessins épurés, croquis, couleurs pastel, douces. • Les passagers du vent= dessins très détaillés , très précis, très impressionnant s.

Insuffisant. 3) Dans chaque BD les auteurs veulent faire passer un message politique a) Tintin au Congo reflète le colonialisme dans les années 30. Hergé=un conservateur. Tintin: le colon amène l’éducation, la culture au peuple colonisé. Grâce aux belges le Congo=une société apaisée et heureuse. b) Atar Gull et Un marron dénoncent l’esclavage. Ils le dénoncent : • en montrant la cruauté des esclavagistes. • en montrant que les esclaves reprennent la violence qu’ils ont subie :. »

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