Les conditions des femmes au XVIIème siècle

« toute leur attention pour les taches féminines.

86% des femmes sont illettrées, elles étaient beaucoup moins instruites que les hommes, elles ne recevaient que l'éducation religieuse et l'instruction scolaire.

Elles avaient le choix entre le mariage ou le couvent.

Les filles devaient se couvrir, la femme était conçue comme destinée au bon plaisir des hommes.

Pour eux, les femmes étaient sottes, traîtresses, dangereuses et répugnantes.

Les femmes étaient chargées d'enfants et vouées à une éducation misérable.

L'Eglise veut qu'elles fondent un foyer et apprennent les tâches familiales, qu'elles apprennent à danser, à jouer d'un instrument et les bonnes manières.

La femme cherche la liberté et elle est obéissante.    III- La soumission féminine : Au XVIIème siècle, les femmes sont dans un état permanent de soumission aux hommes.

Sur le plan juridique elles passent de l'autorité de leur père à celle de leur mari.

A l'époque, la femme est inférieure à l'homme.

Sa seule vocation est la maternité et les besoins du ménage, c'est donc l'homme qui exerce l'autorité.

La femme est considérée comme le « vassal » de l'homme, c'est une relation de protecteur et protégé.

Le mari est considéré comme une sorte de monarque, une image de Dieu, il inspire la terreur sacrée.

Elle n'a aucune existence sociale en dehors de son mari, le mariage empêche tout désir d'indépendance et d'épanouissement personnel.

    IV- Le mariage : Pour se marier, l'âge légal est de 12 ans pour les filles.

A l'époque on ne se mariait pas par amour mais pour avoir des enfants et accomplir un devoir religieux civique.

Ce n'était pas leur compagnon qui choisissait s'ils allaient se marier ou non, mais leurs parents, il est aussi possible qu'ils ne se soient jamais rencontrés auparavant.

Il est mal vu de se marier hors sa paroisse ou que la femme ou le mari ne soient pas de milieux populaire.

Une fois le mariage négocié entre les familles, ils se retrouvent chez le notaire pour signer un contrat.

Par contre, le divorce n'annule pas les liens sacrés du mariage, quelles que soient ses raisons, une épouse ne peut quitter le domicile conjugal sous peine d'être privée de tous ses droits.

A peine veuf l'homme. »