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La psychanalyse selon Christelle Moreau

Publié le 08/01/2014

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psychanalyse
Un petit mot sur la psychanalyse et Freud Qui n'a pas entendu parler de Sigmund Freud ? De près ou de loin, du psychologue de comptoir complètement profane au passionné en passant par le simple curieux, le bagage que nous a livré Sigmund Freud, est d'une telle richesse qu'il sera à jamais perpétué, repris et surtout utilisé. Ses études sur l'inconscient définissent à elles-mêmes ce qui est plus communément appelé : la psychanalyse.Mais attention, le maître a eu des disciples qui ont su lui soumettre des richesses qu'il a su à son tour exploiter. Chaque courant et chemin de la psychanalyse actuelle a été fondé pièce par pièce par le vécu, la réflexion de chaque psychanalyste, car on attend de la psychanalyse qu'elle évolue toujours et encore. Dans la psychanalyse on peut considérer trois engrenages, comme des mouvements enchevêtrés qui eux mêmes auraient des ramifications: la métapsychologie (dont les trois principes organisent le fonctionnement psychique : la perspective topique, dynamique, économique) La recherche de significations inconscientes de la parole, du comportement ou des productions de l'imagination (lapsus...) La cure psychanalytique par la méthode de la libre association. En général, elle est effectuée...
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« révélé sous hypnose.

La remémoration et la ré-actualisation émotionnelle des scènes traumatiques conduisent alors à la guérison.

C'est cette méthode qu'Anna O.

appelait aussi « talking cure ». l'association libre , qui vise à favoriser la remémoration en invitant le patient à dire librement ce qui lui vient à l'esprit, et en travaillant sur les chaînes associatives.

Ceci permet de mieux comprendre les diverses appréciations de Freud lui-même quant à la naissance de la psychanalyse : Freud se démarqua de Breuer , en acceptant l'importance de la dynamique sexuelle dans le développement de la psychopathologie.

L'hystérie est alors conçue comme conséquence d'un trauma sexuel.

Cette approche permis ensuite de comprendre la névrose obsessionnelle, ainsi que la phobie, également nommée hystérie d'angoisse.

Carl Gustav Jung , entre autres fait évoluer Freud car, il accepte des points de vue qu'il intègre ensuite dans le corps de sa théorie comme, par exemple, le passage de la première topique à la seconde topique qui fait davantage de place aux pulsions agressives et de mort.

Ainsi, plus particulièrement vers 1920, la théorie freudienne connaît d'importants remaniements, qui sans dénoncer comme erronée la théorie antérieure, en montrent à la fois les limites et en proposent un élargissement considérable. Metapsychologie , pourquoi ce nom ? Freud ne trouvant pas d'explication satisfaisante aux troubles psychologiques sans lésions anatomo-physiologiques, se tournera vers une conception proprement psychologique de ces phénomènes psychopathologiques.

C'est la raison pour laquelle Freud nommera son approche «métapsychologie » pour bien marquer la différence aussi bien avec la conception spiritualiste et philosophique de la psychologie de son temps, qu'avec la psychologie caractérologique et psychophysiologique qui s'appuyait sur des mesures de temps de réaction, par exemple, et les réflexes. La psychanalyse n'est pas qu'un ensemble théorique, une métapsychologie, c'est également une méthode d'exploration du psychisme humain. - L'interprétation des rêves qui sont, selon Freud, « la voie royale à la connaissance de l'inconscient ».

L'analyse du rêve permet de découvrir les mécanismes de symbolisation du psychisme. - L'analyse des actes du quotidien - Les lapsus, les oublis, les négligences : ces actes manqués traduisent un conflit psychique qui met en jeu une tendance consciente et une autre, pré-consciente ou inconsciente, qui vient troubler le déroulement normal de la première.

L'observation de ces tendances contradictoires permet de rendre vraisemblable l'hypothèse de l'inconscient Une dernière grande ligne: Principe du déterminisme psychique L'hypnose qu'utilisaient Joseph Breuer et Jean-Martin Charcot est une méthode qui ne put satisfaire Freud qu'un temps, ne convenant pas à tous les patients et n'allant pas de pair avec un travail au long terme sur le transfert.

Pour la remplacer, Sigmund Freud utilisera un principe qu'il attribue à Jung, principe suivant lequel une idée qui se présente à l'esprit ne peut être arbitraire et doit donc avoir un antécédent déterminé.

Dans les Cinq leçons. »

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