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Commentaire de texte, Descartes

Publié le 06/04/2019

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DM philosophie générale René Descartes est le fondateur de la philosophie moderne, ou philosophie rationaliste, celle-ci aboutit à la découverte du cogito ou encore de la conscience réflexive. Pour fonder le rationalisme moderne, il s'appuie sur les forces de la raison et sur l’évidence, de façon à atteindre le vrai de manière sûre, le but de la connaissance étant de ?« nous rendre comme maître et possesseurs de la nature » Au sein du doute, Descartes rencontre une première certitude, le ?cogito (« je pense » en latin).? Le cogito qui représente la conscience de soi du sujet pensant. En effet, aussi universel que soit le doute, puisqu’il porte sur la totalité des connaissances, il y a quelque chose qu’il ne peut atteindre : c’est sa propre condition, car doutant, je pense et, pensant, je suis. Dans le texte commenté, Descartes traite du principe philosophique, c’est à dire c?e qui est premier, dans l'ordre de l'existence ou de la connaissance. Ce qui permet à une chose de commencer à exister : cause première, origine, fondement, élément constitutif. Une proposition fondamentale qui sert de base à un travail intellectuel. Il expose les différents principes qui permettent de répondre au doute en prouvant l’existence des êtres et des choses. Plus précisément, il traite de l’opposition entre deux formes de principes et leur problèmes respectifs. Comment Descartes nous...
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« démontrer l’existence d’autre êtres ou choses.

La connaissance de cet être doit néanmoins nous être assurée donc au moins plus claire et certaines que toutes les autres choses.

C’est seulement en étant plus certaine que toutes les autres choses que cette existence pourrait nous permettre de connaître l’existence des autres choses.

Pour Descartes donc, il est différent de vouloir prouver l'existence des choses par une règle ou un autre être.

Pour ce qui est de la notion ou de la règle universelle, il donne ici l’exemple du principe de non contradiction : ​“on peut dire que « il est impossible que ce qui est ne soit pas » est un principe” ​, c’est à dire que si une chose est elle ne peut pas dans le même temps ne pas être car c’est contradictoire.

C’est un ​principe fondamental de la logique énoncé par ​Aristote ​ et qui pose qu'il est impossible d'affirmer d'une chose, quelque chose et son contraire en même temps.

​ Une chose ou un être ne peut pas être et ne pas être à la fois.

Pour Descartes ce principe ne sert pas à connaître l’existence d’une chose, elle n’est pas une preuve mais seulement une assurance ou une confirmation que cette chose existe bien : ​“peut généralement servir, non pas proprement à faire connaître l’existence d’aucune chose, mais seulement à faire que, lorsqu’on la connaît, on en confirme la vérité par un tel raisonnement”.

​ Il est donc nécessaire de connaître l’existence de cette chose avant de pouvoir lui appliquer cette règle qui nous sert uniquement de vérification.

Pour Descartes c’est donc un principe qui n’est pas très utile.

en effet, il n’apporte aucune connaissance supplémentaire.

Ce n’est qu’une vérification facultative que la chose dont on connaît l’existence existe bien.

Pour Descartes, cela n’a rien de précieux.

Descartes défend donc le principes qui repose sur la connaissance de l’existence d’un être si assuré qu’elle permette de connaître l’existence des autres choses.

Cette chose qui existe avec une grande certitude c’est que notre âme existe.

le principe repose donc ici sur l’existence de notre âme.

En effet, notre âme existe et c’est l’une des première chose dont on connaît l’existence car elle est en nous : ​“il n’y a rien dont l’existence nous soit plus notoire” ​ Cependant, Descartes ne voit pas dans ce principe, un principe universel : ​“ce n’est pas une condition qu’on doive requérir au premier principe”.

Au contraire, ici il nous explique que pour lui il n’est pas de principes qui soit capable de prouver toutes les choses.

​“Car il se peut faire qu’il n’y ait point au monde aucun. »

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