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L'impact de la crise de 1929: déséquilibrés économiques et sociaux

Publié le 26/02/2021

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Les couts des actions sont montés a un niveaux exagérés qui ne peuvent que provoquer une crise financière. En effet malgré les bons résultats, les acheteurs se rendent comptent de l’écart qui se creusent entre les ruptures boursières et les signes de récession, et nombreux sont ceux qui sont en attente d’un réajustement du marché.Le revirement commence le mercredi 23 octobre1929 à la bourse de New York, le lendemain, le « jeudi noir », le marché s’effondre, des millions d’actions sont mises sur le marché sans trouvé aucun acheteur. Les investisseurs prennent peur que le prix de leur actions qu’ils avaient achetés s’effondrent et ainsi ils décident de tous les revendent ce jour là. L’indice boursier de Wall street en une seule journée perd 22% de sa valeur réelle. Des baisses spectaculaires de cours qui alterne avec des sursaut de hausse jusqu’à minovembre. Brutalité et ampleur de cette chute s’explique par la fragilité du marché aux Etats Unies. Les sociétés d’investissement gérante de portefeuille vendent massivement pour se procurer des liquidités, comme ça la plus part des transactions peuvent être réalisées à crédit. De plus les clients des courtiers ne peuvent plus les payés en ce début de crise. Ainsi on assiste a un effondrement spectaculaire des couts qui entraine une crise banquaire largement engagés dans spéculation boursière. Cette crise financière se transforment en crise économique.Les banques américaine perdent leur liquidité et doivent ainsi diminuer leur crédits face aux consommateurs et producteurs. Les banques ne font plus crédits aux entreprises , la réduction de crédit est catastrophique, la production industrielle diminue de moitié, telle que dans l’agriculture, les prix des produits agricoles chutent avec une population qui consomme moins. Pourtant, le nouveau président des États-Unis, Herbert Hoover, affirmait que le retour de la prospérité « était au coin de la rue ». Or 1930 fut une mauvaise année, et 1931 et 1932 furent encore pires. Les faillites bancaires se multiplièrent. La croissance économique ralentit dans des proportions considérables. A la fin de 1932, le PIB mondial avait chuté d’un tiers, celui des États-Unis de 46 %. Jamais une récession n’avait été si forte et n’avait duré si longtemps. Trois ans après son déclanchement, aucun signe de rétablissement ne s’annonçait. Le chômage explosa, passant de 1,5 million à 15 millions de personnes. En 1929, le taux de chômage avait dépassé les 15 %, mais il monta encore jusque 25 % en 1933. Des milliers de banques firent encore faillite. Les conséquences pour les déposants étaient désastreuses, puisqu’à cette époque les dépôts bancaires n’étaient pas assurés, et les déposants perdaient l’ensemble des sommes qu’ils avaient placées lorsque la banque faisait faillite. En raison de la position dominante de l’économie américaine, la crise devint rapidement mondiale.

« La prospérité des années 20 est tragique.

L’optimiste est générale dans les dernières années de décennies et pourtant des indices laissent prévoir un retournement de conjoncture. La soci été avait une croyance aveugle dans le système capitaliste.

Après la première guerre mondiale, soit durant les années 20, surnommées les "années folles " aux États-Unis, la croissance de l’économie semble illimitée: On croyait avoir vaincu le cycle économique.

L’économie tourne à plein régime et les entreprises augmentent leur production.

Cette croissance industrielle s’est répercutée sur le marché boursier.

Les occasions de faire des profits sur les placements à la bourse attirent plusieurs investisseurs.

Les politiciens américains encouragent la création de bulles spéculatives en étalant des discours teintés d’un optimisme presque euphorique.

Des économistes de premier plan, des hommes d ’ affaires et des personnalités politiques comme John J. Raskob, président du Comité national démocrate et directeur de General Motors, déclaraient que « chacun devrait ê tre riche » et que tout le monde le serait effectivement à condition d ’ investir 15 dollars par semaine en actions et obligations.

Le nombre de personnes qui achetaient des actions et des obligations atteignait des niveaux record.

La fi è vre de la spéculation toucha pratiquement toutes les couches de la socié t é.

Les femmes, selon la presse économique américaine, représentaient une part de plus en plus importante des spéculateurs, fait qui ne pouvait, selon celui-ci, que renforcer le prestige de la femme, alors que, comme le note Galbraith avec ironie, elles ne connaissaient rien à l ’économie.

Mais étaient-elles vraiment les seules à être dans cette situation ? Des pratiques financières imprudentes sont réalisées dans un système financier fragile.

Aux États-Unis, la situation économique particulièrement favorable facilitait l’accès quasi illimité au crédit pour les particuliers, les investisseurs et les entreprises.

Poussés par un cet élan d’optimisme, certains de ces investisseurs empruntent même sans garantie pour spéculer sur le marché boursier.

Par exemple, un spéculateur n’avait besoin que de 5% en capital pour acheter des actions.

Cette mise de fond lui permettait aisément d’emprunter la différence (95%) auprès du courtier ou de la banque.

Ce laxisme dans le degré de couverture des emprunts et l’imprudence des banques à prêter pour de la spéculation, sont des causes importantes de la crise boursière qui a entraîné la faillite des banques. Selon plusieurs économistes, la surproduction à l’échelle mondiale constitue une des principales causes de la crise.

Quatre facteurs peuvent mener à la surproduction :Tout d’abord, durant les années 20, les États-Unis et le Japon qui avaient augmenté leur production durant la guerre, continuent à produire pour la reconstruction de l’Europe.Dans un second temps; des pays et colonies qui fournissaient des matières premières durant la guerre se sont industrialisés, ce qui augmente la production mondiale.

De plus, la reconstruction rapidement complétée en Europe permet aux puissances économiques européennes de retrouver leur capacité de production d’avant guerre, ce qui vient gonfler encore plus la production mondiale.

Enfin, une révolution technologique créée par le développement de nouveaux modes de production associés au fordisme, a aussi contribué à la surproduction.

Tout est alors en place pour une crise de surproduction : le manque de débouchés fait que les usines ne peuvent plus vendre leurs stocks, les prix chutent rapidement et les faillites se succèdent.

A ux états unies, les fermiers connaissent déjà la mévente et la surproduction ce qui entraine une hausse de l’offre mais qui n’est pas proportionnelle a la courbe de la demande.

La production automobile atteint en mars 1929, son maximum et les stocks se gonflent.

On assiste a une saturation du marché de tout les cotées.

Les américains ont une courbe d’offre très importante (avec des stocks. »

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