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Chasse aux phoques : explication

Publié le 11/05/2017

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Devrions-nous abolir la chasse aux phoques au Canada? Dans les dernières années, la chasse au phoque est devenue un sujet d’actualité. Plusieurs se posent la même question : Devrions-nous, oui ou non, abolir la chasse au phoques, et pourquoi? Dans ce texte, il sera questions de la réponse de cette question qui sera soutenue par une multitude d’aspects. Premièrement, il existe 6 types différents de phoques. Il y a le phoque du Groenland, le phoque à capuchon, les phoques gris, le phoque annelé, le phoque barbu ainsi que le phoque commun; sa population globale atteint les six millions d’individus. Ensuite, nous devons connaitre l’importance de sa chasse lors du dernier siècle. Durant les années 1950-60, le phoque devient une industrie. Les chasseurs canadiens laissent place aux chalutiers européens en raison du manque de contrôle de la part du Canada. Sa fourrure devient ...

« phoque gris était la principale cause de la hausse de mortalité des morues dans le sud du Golfe du St-Laurent. «En dénombrant les naissances et les adultes chaque année.

Ainsi, on sait combien de phoques peuvent être chassé sans causer de déclin.

Pour le phoque du Groenland, les biologistes évaluent qu’environ 300 000 prises ne feront pas décroitre la poupulation actuelle (5 à 6 millions de phoques).

Et si ca arrivait, on diminuerait les quotas 9nombre de prises autorisées par le gouvernement).» 2 En comparaison, la Norvège applique à la chasse rte des quotas, spécifie les méthodes pour abattre l’animal et impose une formation des chasseurs ainsi que l’homologation et le contrôle des navires utilisés.

L’union européenne interdit toute chasse sportive de phoques depuis 2009. Pour terminer, il y a une méthode précise que l’on doit utiliser lors de cette chasse.

Sous la rubrique « Réglementation-Canada » consiste à asséner un fort coup sur la partie inférieure du cerveau de l’animal.

À laide d’un Hakapik (gourdin), ils tuent le phoque rapidement sans le faire souffrir.

Ayant la forme d’un long marteau, il se compose en deux parties à son extrémité : le percuteur et le crochet.

Lors du coup donné à l’animal, on utilise le percuteur.

Selon la réglementation, trois coups doivent être donné pour s’assurer que le phoque est bel et bien mort. «Depuis 1987, la chasse aux blanchons ou ce qu’ils appellent les bébés phoques, ca n’existe plus au Canada.

Et il n’y a aucun braconnage là-dessus, parce que personne va en acheter.» 3 Les scientifiques de Pêches et Océans Canada donnent raison aux chasseurs.

Selon leur décompte, les phoques chassé, De plus, la technique de chasse pratiquée inflige peu de souffrance aux animaux.

On les frappe à la tête, leur crâne fragile se brise et l’animal meurt sur le coup, comme dans un abattoir. 2 Lyne Morissette, spécialiste de l’Écologie marine 3 Léonce Arsenault, chasseur de phoques. »

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