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Commandement et obéissance.

Publié le 16/09/2014

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A. A l'égard de son travail. — a) Celui qui travaille en sous-ordre ne connaîtra pas la joie du travail tant qu'il restera braqué sur le fait que ce travail est commandé et organisé par un autre. Pour être heureux dans sa situation, il doit cultiver le sentiment de son rôle personnel dans la production ou dans la marche d'un service et, au lien de remêcher inuti­lement ses réflexions de subordonné mécontent, mettre à profit la marge d'initiative qui lui est laissée pour s'acquitter le mieux possible de sa tache

b) Ce souci du meilleur rendement possible sera soutenu par le senti­ment du bien commun. Le bien commun dépend de la fidélité de tous à la triche qui leur est assignée, aux ordres qu'ils ont reçus. Cette pensée de l'ordre social à maintenir et du bonheur des hommes à assurer, doit suffire à surmonter la tentation de ne pas obéir et de suivre son caprice.

« MORALE PBATIQUJ. »

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