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Descartes: Dieu existe.

Publié le 17/01/2017

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Quel est l'objet de ce paragrahe ? Dieu existe. Il est sujet de l'esprit, mens Dieu m'a crée. Analogie : rapport identique, termesdifférents. En théologie judeo-chrétienne , le rapport entre l'ouvrier et l'ouvrage est identique au rapport entre Dieu et moi. Qui est moi, l'esprit. Descartes est volontairement banal. Seulement, l'analogie est produite de l'idée de Dieu. Non seulement il y a l'ouvrier, non seulement il y a l'ouvrage, mais aussiil y a la marque de l'ouvrier sur l'ouvrage. Aussi, l'idée de Dieu c'est une empreinte sur moi. Une empreinte c'est une présence en creux. L'ouvrier qui laisse une marque c'est comparable au sculpteur/artisan qui laisse sa marque sur ces ouvrages. Qui plus est, la marque est identique à l'ouvrage, l'ouvrier n'est pas essentiellement à l'image de son œuvre, masi non l'inverse. L'idée de Dieu je l'ai mais je la suis, je suis l'idée de Dieu. Dire que la marque est identique à l'ouvrage se n'est pas toujours absurde. Il y a un style d'objet ou on ne peut pas si aisement distingué la signature de l'oeuvre. Exemple : une œuvre d'art, du Monet, la signature est invisible, mais le style de la peinture est son oeuvre. C'est comme s'il y avait un style de l'esprit fini, il y a deux statue de l'idée de Dieu, l'idée au sens étroit, c'est le fait que je me représente Dieu, je pense à, je me représente = idée. Mais aussi l'idée comme mode de présence, signé Dieu. Descartes n'explique pas la thèse, mais il semble complexifié la thèse. Il y a une allusion au texte biblique. Au 6 ème jour, Dieu dit, faisons l'homme à notre image et selon notre ressemblance. Attention se n'est qu'une référence, il ne répète pas la Bible. Il faut distingué trois proposition. Je démontre que Dieu existe. Demonstration = méthaphysique =/= religion, au dela du sensible, dire le vrai de se qui est hors de moi. Deuxième phrase, je crois en Dieu, on peut ressentir la présence de Dieu en nous, ou dans notre monde. Troisième phrase, je crois Dieu. Les juifs peuvent dire je crois Dieu, car il à livrer une écriture, elle vient de Dieu, et je crois se qui est écrit. Les chrétiens aussi, ils croient en Dieu qui se révèle dans son fils, Jésus. Le musulman croit Dieu, car Dieu se manifeste par le prophète, quand le prophète parle, Dieu parle, et il croit que Dieu dit la vérité. Descartes se trouve dans le premier cas, il n'est pas dans la religion révélé. Il ne s'agit pas de l'homme, il s'agit de l'esprit. Se ne sont pas des bondieuseries, il ne s'agit pas de l'homme, mais de l'esprit. Cette ressemblance ne peut pas être de nature matériel. On ne sait pas se que signifie « être à l'image de Dieu ». Se concevoire soit, c'est conçevoire Dieu. Quand je me conçoit, se conçevoire = ressemblant à Dieu = Dieu. Descartes va partir de la dernière ide, il va décrire comment on doit se conçevoir. Quand je me conçoit, comment je me conçoit. Je me conçoit comme une chose imparfaite. Etre imparfait c'est ne pas être parfait, l'imperfection c'est la négation de la perfection. Un être parfait il expérimente la complétude du faire. Si rien ne manque alors il n'y a rien à ajouter, cette idée de la perfection comme impossibilité de l'ajout, c'est une idée grec. Exemple d'Aristote : un coffre c'est parfait, car le coffre est tel qu'il n'y a rien à ajouter pour qu'il soit coffre. Aristote parle à un moment donné d'un bandit parfait, un voyou dont il n'y a rien à ajouter pour qu'il soit plus bandit. Descartes n'est pas Aristote, seulement les deux philosophe s'accorde à dire qu'une chose parfaite une une chose ou on ne peut plus intervenir, qui ne manque rien. Aussi il y a des dégrés de perfection, le coffre est parfait en tant que coffre fini. Mais il y a une perfection de l'ordre de l'infini. Dieu est infi iment parfait car il ne lui manque rien, absolu complétude, absolument rien ne peut être...

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« – Descartes n'est pas Aristote, seulement les deux philosophe s'accorde à dire qu'une chose parfaite une une chose ou on ne peut plus intervenir, qui ne manque rien.

Aussi il y a des dégrés de perfection, le coffre est parfait en tant que coffre fini.

Mais il y a une perfection de l'ordre de l'infini.

Dieu est infi iment parfait car il ne lui manque rien, absolu complétude, absolument rien ne peut être ajouté à Dieu.

Perfection absolu, c'est l'être d'absolu perfection. – Moi chose finit j'expérimente mon imperfection.

Je suis crée par Dieu, dépendant.

Le temps est une sucession d'instand.

Il faut que je soit crée à chaque instand.

Je dépend d'autrui.

Dans la mesure ou je dépend continuellement de Dieu, dans cette mesure je ne peut pas me recrée moi-même, donc je n'ai pas assez de pouvoir pour me recrée, donc je suis imparfait.

N'ayant pas moi même le pouvoir de me recrée, donc je suis imparfait.

Dépendre uniquement de moi -même, signifie l'absolu, seulement je il me manque le principe de mon existence.

Je suis un être de désir infini de l'infini.

– De quel désire s'agit il, es ce que un jour moi être finit je connîtrait tout ? Non.

Es ce que la science progresse toujours ? Oui.

Alors c'est qu'elle n'est jamais complète.

Le signe de l'infini, c'est la complétude.

Nous sommes ouvert au progrès car nous ne serons jamais fini. Es ce que je connais tout ? Evidemment non, on ne connais jamais tout de l'Univer.

Nous sommes intellectuellement toujous imcomplet, c'est un désire de mode infini.

« Encore » c'est le principe même du désir, nous ne sommes jamais par le désir totalement satisfait.

Le désir de l'être fini, est un désir qui ne finit pas.

Notre style d'être c'est d'être infiniment insastisfait.

En réfléchissant sur soit, je reconnais qu'auncun être finit ne peut totalement me satisfaire, une expérience existencielle, nous sommes des êtres praticant le « encore ».Seul un être infini peut totalement me satisfaire.

Je suis toujours plus ou moins déçu par la satisfaction finit .

– Pourquoi suis-je insatisfait ? Je désire perpétuellement, je suis toujours en manque.

On revient à la thèse, je suis un manque car je suis un être imcomplet, et que j'ai le sens de mon imcomplétude.

Comment distingue-t-on mon imcomplétude ? Il y a manque quand se qui devrait être n'est pas mais que je conçoit, c'est une déficiance d'être, l'être devrait y être. L'absence c'est toujours la comparaison avec un être possible.

Pourquoi suis-je un être qui désire sans cesse ? Car je suis un être de manque infini, et pourquoi suis je un être de manque infini, c'est parce que j'ai l'idée de l'inifini, j'ai l'idée de l'absolu complétude.

Cette idée fait naître en moi le sentiment de mon imcomplétude, je l'ai par comparaison.

J'ai l'idée de l'être infini, de l'absolu complétude, à cette idée je me compare à cette idée, je compare ma limite à l'infini, c'est la que j'expérimente le manque.

Ce texte c'est un texte mathématique.

La distance entre le fini et l'infini est infini.

Si aucune chose finit ne peut me satisfaire, c'est que mon désire à un objet infini.

Mon style c'est mon imcomplétude qui ne sera jamais comblé.

Ce désir de Dieu c'est le désir de la complétude, aussi c'est ça que nous n'avons pas, car la complétude n'est pas à porter de main.

– Le génie cartésien, Dieu est l'ouvrier, moi je suis l'ouvrage, moi esprit fini, je susi l'ouvrage de Dieu, ma marque est le désir infini en tant que je suis un désir infini, je suis à la fois l'ouvrage de dieu, et le sens de l'imcomplétude, avoir l'idée de Dieu.

Dieu est infni positivement, mais moi je porte l'infini, mais en creux, sur le mode du manque.On a compris également la deuxième thèse, je suis à l'image de Dieu.

Une image c'est par définiton moins que la réalité « il n'est pas de l'essance de l'image d'être en tout semblable à la chose dont elle est l'image, mais il suffit qu'elle lui ressemble en quelque chose.

» – Evident = evidere ; la lumière naturel c'est l'évidence, propos clair et redondant.

Il faut bien distingué pouvoir et vouloir.

Dieu peut-il mentir, oui car il peut tout faire, mais ment-il non,. »

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