Descartes: Dieu existe.
Publié le 17/01/2017
Extrait du document


«
– Descartes n'est pas Aristote, seulement les deux philosophe s'accorde à dire qu'une chose
parfaite une une chose ou on ne peut plus intervenir, qui ne manque rien.
Aussi il y a des
dégrés de perfection, le coffre est parfait en tant que coffre fini.
Mais il y a une perfection de
l'ordre de l'infini.
Dieu est infi iment parfait car il ne lui manque rien, absolu complétude,
absolument rien ne peut être ajouté à Dieu.
Perfection absolu, c'est l'être d'absolu perfection.
– Moi chose finit j'expérimente mon imperfection.
Je suis crée par Dieu, dépendant.
Le temps
est une sucession d'instand.
Il faut que je soit crée à chaque instand.
Je dépend d'autrui.
Dans
la mesure ou je dépend continuellement de Dieu, dans cette mesure je ne peut pas me recrée
moi-même, donc je n'ai pas assez de pouvoir pour me recrée, donc je suis imparfait.
N'ayant
pas moi même le pouvoir de me recrée, donc je suis imparfait.
Dépendre uniquement de moi
-même, signifie l'absolu, seulement je il me manque le principe de mon existence.
Je suis un
être de désir infini de l'infini.
– De quel désire s'agit il, es ce que un jour moi être finit je connîtrait tout ? Non.
Es ce que la
science progresse toujours ? Oui.
Alors c'est qu'elle n'est jamais complète.
Le signe de
l'infini, c'est la complétude.
Nous sommes ouvert au progrès car nous ne serons jamais fini.
Es ce que je connais tout ? Evidemment non, on ne connais jamais tout de l'Univer.
Nous
sommes intellectuellement toujous imcomplet, c'est un désire de mode infini.
« Encore »
c'est le principe même du désir, nous ne sommes jamais par le désir totalement satisfait.
Le
désir de l'être fini, est un désir qui ne finit pas.
Notre style d'être c'est d'être infiniment
insastisfait.
En réfléchissant sur soit, je reconnais qu'auncun être finit ne peut totalement me
satisfaire, une expérience existencielle, nous sommes des êtres praticant le « encore ».Seul
un être infini peut totalement me satisfaire.
Je suis toujours plus ou moins déçu par la
satisfaction finit .
– Pourquoi suis-je insatisfait ? Je désire perpétuellement, je suis toujours en manque.
On
revient à la thèse, je suis un manque car je suis un être imcomplet, et que j'ai le sens de mon
imcomplétude.
Comment distingue-t-on mon imcomplétude ? Il y a manque quand se qui
devrait être n'est pas mais que je conçoit, c'est une déficiance d'être, l'être devrait y être.
L'absence c'est toujours la comparaison avec un être possible.
Pourquoi suis-je un être qui
désire sans cesse ? Car je suis un être de manque infini, et pourquoi suis je un être de
manque infini, c'est parce que j'ai l'idée de l'inifini, j'ai l'idée de l'absolu complétude.
Cette
idée fait naître en moi le sentiment de mon imcomplétude, je l'ai par comparaison.
J'ai l'idée
de l'être infini, de l'absolu complétude, à cette idée je me compare à cette idée, je compare
ma limite à l'infini, c'est la que j'expérimente le manque.
Ce texte c'est un texte
mathématique.
La distance entre le fini et l'infini est infini.
Si aucune chose finit ne peut me
satisfaire, c'est que mon désire à un objet infini.
Mon style c'est mon imcomplétude qui ne
sera jamais comblé.
Ce désir de Dieu c'est le désir de la complétude, aussi c'est ça que nous
n'avons pas, car la complétude n'est pas à porter de main.
– Le génie cartésien, Dieu est l'ouvrier, moi je suis l'ouvrage, moi esprit fini, je susi l'ouvrage
de Dieu, ma marque est le désir infini en tant que je suis un désir infini, je suis à la fois
l'ouvrage de dieu, et le sens de l'imcomplétude, avoir l'idée de Dieu.
Dieu est infni
positivement, mais moi je porte l'infini, mais en creux, sur le mode du manque.On a compris
également la deuxième thèse, je suis à l'image de Dieu.
Une image c'est par définiton moins
que la réalité « il n'est pas de l'essance de l'image d'être en tout semblable à la chose dont
elle est l'image, mais il suffit qu'elle lui ressemble en quelque chose.
»
– Evident = evidere ; la lumière naturel c'est l'évidence, propos clair et redondant.
Il faut bien
distingué pouvoir et vouloir.
Dieu peut-il mentir, oui car il peut tout faire, mais ment-il non,.
»
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