Devoir de Philosophie

Désir de savoir

Publié le 25/11/2012

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La philosophie : désir de savoir ? Une question est intéressante si elle est fondée. Fondement : C'est ce qui rend raison de la chose définie (différent de base qui inaugure) Fondement c'est le tout, il faut donc disposer de plusieurs éléments. Il se rattache à l'essence.Le triangle à 3 côtés L'activité philosophique devient une activité à part entière ; le mot « philosophie « apparait dans la Grèce antique  et on le doit à Pythagore (néologisme = nouveau mot), il disait « je suis à la recherche de... «en boutade à ses savants, mais, ce que l'on dit en riant signifie bien plus que ce que l'on dit en étant sérieux. Pythagore V siècle avant JCSocrate, Platon IV siècle avant JCDescartes XVII siècle avant JC Socrate n'a rien écrit, enseignement purement oral, mise en place de méthode pour satisfaire la recherche du savoir. Méthode : application de principe, de règles. (non-contradiction/causalité/déterminisme)Sans méthode, on ne peut pas réfléchir, Descartes = discours de méthode. Philosophie :Philein Sophia (étymologie=base) Désirerintellectuel Savoir/Sagesse Désirer :C'est tendre intensément, faire l'expérience d'un manque = souffrirDésirer savoir, c'est avoir conscience de notre ignorance, avoir conscience que l'on ne sait pas.Problème avec le désir, lorsqu'on parvient à avoir ce que l'on désir, extinction du désir. On ne désir que pour satisfaire son plaisir, et on ne désire pas ce que l'on possède. On répond à la question désir de savoir grâce à la partie étymologique du mot philosophie. L'essence : C'est ce qui détermine la nature propre d'un Etre, ce qui ne peut être autrement du point de vue de l'existence d'une chose. Nécessaire, condition nécessaire, ce qui ne peut être autrement ( ?obligatoire qui vaut pour une institution)L'essence s'oppose à l'accident.Accident : C'est ce qui ne participe pas à l'essentiel de la chose, ce qui ne détermine pas la qualité d'un être, ce n'est pas la propriété essentielle. La couleur du triangle ne participe pas à la définition générale du triangleOn passe de l'essence au nécessaire, c...

« -J.P.

Sartre (XXe siècle) : « il suffit de constater son existence pour la comprendre », je suis, mais j’aurais bien pu ne pas être.

-A.

Einstein (XXe siècle) : « La Vie n’est pas faite de question mais de réponses ». Les philosophes, comme les sciences, sont à la recherche du savoir.

-Kant (XVIIe) : « On n’apprend pas la philosophie, on apprend à philosopher ». Il s’agit de comprendre, de réfléchir de manière philosophiques avec des principes, et non de définir.

Quels sont les principes qui rendent possible de philosopher ? Au moins 3 éléments : -l’étymologie, qui est la racine, la base, et donc une source d’information -la datation (antiquité grecque) -la conscience Désirer savoir, c’est savoir que l’on ne sait pas, et du travail pour combler ce manque. 1°) Conscience Conscience : Je sais que je ne sais pas.

Elle nous rend libre, et la conscience et la liberté nous rendent responsable de nos actes.

Avoir conscience de son ignorance, c’est posséder un savoir (je sais).

Cum Scio savoir immédiatement avec soi, il faut avoir conscience que cette chose manque, ne pas savoir c’est savoir.

(Imbécile, qui ne sait pas qu’il ne sait pas, donc pas de recherche de savoir), contraire de l’aliéné : être inconscient. Conscience= -les actes nous rendent responsable -de la finitude -de son ignorance La conscience est la condition de notre liberté.

Liberté : Faire des choix pour être libre, il ne faut obéir à aucune nécessité, cependant contradiction, l’Homme a des nécessités (boire, manger) donc, Qu’est-ce que l’Homme ? Les animaux n’ont pas conscience qu’ils ne savent pas, cependant, ils ont un savoir qui est inné, immédiat, instinctif, mais ne savent pas le dominer, ils ne réfléchissent pas, l’hésitation n’existe pas, ils naissent avec un programme qu’ils ne peuvent pas modifier.

L’animal est un Etre avec des automatismes qu’il n’a pas choisis.

Il n’agit pas, il réagit.

Il ne peut s’écarter de son programme, sinon c’est la mort, donc il suit son programme pour persévérer dans son Etre.

L’animal n’est pas libre, il ne fait aucun choix, il ne peut pas choisir de ne pas être.

(Comme le nourrisson) Pas de conscience. L’Homme l’animal, il sait qu’il va mourir, mais essaye de l’oublier en évitant l’ennui avec le divertissement : Les Pensées de Pascal.

L’animal le sait qu’au moment venu.

Mais les 2 sont mortels. L’inconscience, c’est ce qui pourrait nous rendre heureux ; ce qui rend tragique notre existence, c’est que l’on a conscience de notre finitude.

Bichat : « la vie c’est l’ensemble des forces pour résister à la mort » Vanité : Nous ne sommes que pour ne plus être = vivre pour mourir Les Dieux ne font pas de philosophie, pas de recherche de savoir, omniscients = ils savent tout, ils peuvent tout, SAVOIR c’est POUVOIR . 2°) Travail. »

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