Douter, est-ce un échec de la raison ?
Publié le 10/11/2012
Extrait du document
«
prenons l'exemple de la rumeur si deux personnes nous racontaient deux histoires
différentes, nous devrions alors douter mais puisqu'il n'y a aucune certitude sur les deux
versions nous ne serons pas laquelle croire, alors un problème se pose, c'est là que se
confirme la théorie de Pyrrhon.
Lorsque le doute sceptique prend la forme d'une
conclusion, c'est que l'on renonce devant la difficulté du problème.
Pyrrhon, considèrent
justement que l'esprit humain est incapable d'atteindre la certitude.
Selon Descartes, douter permet de parvenir à la vérité, « le bon sens est la chose du
monde la mieux partagée », il dit ici qu'on obtient la vérité par le « bon sens », la raison.
D'après lui la raison comporte deux facultés l'intuition et la déduction.
Nous choisissons
parfois des choses par intuition comme quand on nous donne un QCM, une question est
posée dont on ne sait pas avec certitude la réponse exact mais nous y répondons par
intuition celle qui nous paraît plus juste, alors que la déduction c'est un raisonnement
par lequel on analyse les conséquences de quelque chose, je vois des gouttes d'eau sur le
pare-brise de voiture j'en déduis qu'il a plu.
En conclusion, d'après cette analyse nous pouvons répondre aux questions : L'échec nous est-il
défavorable ? Devons-nous supprimer le doute pour réussir ?
Nous avons vu que l'échec pouvait nous être favorable si nous avions le bon raisonnement pour
analyser les erreurs commises pour ainsi réussir puis pour finir on a vu que le doute pouvait nous
mener vers la vérité s'il y avait un bon raisonnement.
Ainsi nous pouvons dire que douter n'est pas un
échec de la raison..
»
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