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Faut-il travailler pour être heureux ?

Publié le 12/07/2012

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En effet les verbes « posséder « et « avoir « sont les maitres mots de notre société de consommation de masse. Or ce sens du mot bonheur renvoie à rien d’autres notions que celle de l’argent, comme le plaisir, la satisfaction, le désir… De plus, pour vivre et avoir un niveau de vie correct, il faut gagner de l’argent, donc travailler, si une personne ne travaille pas, elle n’a donc pas de salaire, ni de rémunération (à part les aides qui lui permettent tout juste de subvenir à ses besoins vitaux) alors elle ne peut rien faire qui lui permettrait de s’épanouir puisqu’aujourd’hui, « on a rien sans rien’ et sans argent on ne peut rien faire. Travailler est alors utile et même obligatoire pour survivre mais celui-ci ne conduit pas toujours au bonheur, il n’est pas la clé du bonheur, d’autres éléments peuvent conduire à celui-ci. Je pense que le travail peut rendre heureux mais cela dépend totalement de la satisfaction qu’on en tire. Par ailleurs, il me semble que le travail est ce qui lie les hommes entre eux, ce qui crée le lien social et surtout ce qui permet aux hommes de vivre, car chaque activité faite est utile aux autres. Le travail rend alors les hommes dépendants les uns des autres, et il me semble que la vie en société est ce qui permet l’épanouissement et le bonheur, car aujourd’hui un individu n’est rien et ne peut rien faire sans les autres.

« faire ce qu’il aime, s’investir dans ses passions, ou encore passer du temps avec des personnes qui lui sont chères.Le bonheur serait aussi par ailleurs un idéal, non de la raison, mais de l’imagination.Un homme, en pensant, en réfléchissant, en imaginant un monde plus mauvais que le notre, pourrait donc conclure qu’il est heureux et que bien d’autres élémentspourraient l’accabler.Le rêve aussi peut rendre heureux, ou bien l’espoir, on dit d’ailleurs que l’espoir fait vivre.Il y a alors énormément d’activité extérieure au travail qui rendent heureux.Le travail n’est donc pas nécessaire au bonheur mais peut y contribuer.Avant tout, il est important de préciser qu’aujourd’hui nous vivons dans une société matérialiste qui « dicte » et montre une image mensongère, celle qui dit quel’argent fait le bonheur.En effet les verbes « posséder » et « avoir » sont les maitres mots de notre société de consommation de masse.Or ce sens du mot bonheur renvoie à rien d’autres notions que celle de l’argent, comme le plaisir, la satisfaction, le désir…De plus, pour vivre et avoir un niveau de vie correct, il faut gagner de l’argent, donc travailler, si une personne ne travaille pas, elle n’a donc pas de salaire, ni derémunération (à part les aides qui lui permettent tout juste de subvenir à ses besoins vitaux) alors elle ne peut rien faire qui lui permettrait de s’épanouirpuisqu’aujourd’hui, « on a rien sans rien’ et sans argent on ne peut rien faire.Travailler est alors utile et même obligatoire pour survivre mais celui-ci ne conduit pas toujours au bonheur, il n’est pas la clé du bonheur, d’autres éléments peuventconduire à celui-ci.Je pense que le travail peut rendre heureux mais cela dépend totalement de la satisfaction qu’on en tire.Par ailleurs, il me semble que le travail est ce qui lie les hommes entre eux, ce qui crée le lien social et surtout ce qui permet aux hommes de vivre, car chaque activitéfaite est utile aux autres.Le travail rend alors les hommes dépendants les uns des autres, et il me semble que la vie en société est ce qui permet l’épanouissement et le bonheur, car aujourd’huiun individu n’est rien et ne peut rien faire sans les autres. Le travail pourrait alors rendre heureuse l’humanité, c’est que qui lierait les hommes entre eux, mais il pourrait d’autre part nuire au bonheur car dans toutes choses ily a des bons et mauvais côtés.Ce qui est indéniable c’est que même si le travail est source de joie et d’épanouissement il ne garantit pas forcément à tout homme qui travaille de le rendre heureux.Nous pourrions nous demander si la fin du travail constituerait un idéal social.La fin alors signifierait la disparition totale de celui-ci, le processus du travail selon Marx serait définitif comme une activité personnelle (un objet sur lequel on agit,un moyen par lequel l’homme agit : outil, machine…) et cependant l’idéal serait ce dont on se rapproche sans cesse.. »

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