La conscience

« des sensations et des désirs.

Cette conscience est immédiate, implicite et familière.

Elle n'a pas besoin d'être formulée, nous la remarquons à peine.                 → Conscience réfléchit est le fait de ce prendre soi-même comme objet de réflexion. C'est une conscience actif, je m'évalue, m'examine et me juge ou je me vois comme sujet qui perçoit le monde.                 → Conscience et inconscience   La conscience morale c'est le fait de juger par soi-même du bien et du mal, c'est ce qui nous permet de ne pas nous soumettre aux moeurs et aux coutumes de notre époque aveuglément.

Cette conscience morale nous permet d'être créateurs de nos propres valeurs.                 2.

Le propre de la conscience : la dualité (me dédoubler/miroir/ duel)   Le terme renvoi à l'idée de double, de dédoublement.

La conscience me permet de me dédoubler, elle me permet de forer une image de moi-même grâce à la conscience je peux m'examiner, me juger, je peux me prendre pour objet de réflexion.   Ex : Je (qui prend conscience) vois bien que je (« moi-objet ») suis timide.                 « le moi sujet » actif                               passif, image figé.   D'un côté il y a le Je qui prend conscience de cette timidité et de l'autre, le Je qui rougit en public.

Dans l'expérience du remord, d'un côté il y a le Je qui regrette et de l'autre le Je qui s'est emporté.

On peut appeler. »