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La conscience

Publié le 30/10/2016

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conscience
Vendredi 30 Septembre 2016 GATARD Noëlia Terminale L Dissertation de philosophie Le sujet ici, est « Pourquoi refuse-t-on la conscience à l’animal ? ». A travers celui-ci, on peut s’apercevoir qu’il y a une réflexion précise, c'est-à-dire que le «  pourquoi », suscite une interrogation sur la cause ou le but. On peut voir également, que le « refus » montre une non-acceptation de la conscience à l’animal. Le « on », se traduit par un groupe de personnes ou le plus souvent quelque chose qui n’est pas déterminé, comme une personne, un insecte ou encore un meuble... Mais par ailleurs, cela montre qu’il y a une adéquation avec la notion de refus et donc avec le but rechercher. Ensuite « l’animal », est désigné comme étant un être vivant doué de mobilité mais qui est cependant en opposition total avec l’homme et qui est dépourvu de langage. Nous pourrons donc répondre à ses interrogations, à l’aire de la problématique suivante, y’a-t- il un degré de conscience chez l’animal semblable à celui de l’homme&...
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« Platon écrit que « nul n'est méchant volontairement » ( Protagoras ).

Si nous faisons le mal, c'est par ignorance, selon lui.

Nous pensons qu’il y a un profit véritable grâce à cet acte, mais nous nous trompons : le mal que nous commettons provoque des conséquences néfastes sur autrui. La conscience spontanée, correspond à un agissement, que l’on pense et que de façon diffuse nous faisons.

Il ya alors une différence entre nous même et les objets que nous percevons. La conscience réfléchie, est une réflexion et une analyse sur un acte envisagé, et un certain recule est pris pour percevoir les répercutions sur autrui. A travers l’explication donnée des différentes consciences, on s’aperçoit que l’animal ne possède finalement aucun de ces degrés de conscience, puisque l’homme, rejet l’idée que l’animal puisse avoir une conscience. Néanmoins, la conscience spontanée pour éventuellement lui correspondre d’un certain point de vue.

C’est-à-dire, l’animal dans son action va agir avec un degré de gravité plus ou moins important ; il ne va pas analyser de lui-même la situation mais il aura une « intuition » qui lui permettra d’avoir cette impression d’avoir fait une action, qu’il ne peut analyser comme étant le bien ou le mal, puisqu’il ne possède pas cette notion. Seulement, des philosophes ne sont pas en adéquation avec cette théorie. Selon Descartes, philosophe et mathématicien français du XVII° siècle (1596-1625), les animaux font des choses naturellement, et l’animalité est basée sur l’instinct, comme boire, manger ou encore dormir.

Ils ne possèdent pas la notion de bien et de mal que détient l’homme ; c’est-à-dire que l’homme à une conscience contrairement à l’animal, c’est ce qui le distingue celui-ci et donc fait de lui un être supérieur : « [...] Les hirondelles viennent au printemps, elles agissent en cela comme des horloges .

» (Extrait de, Lettre au Marquis de Newcastle écrit par R.DESCARTES le 23 Novembre 1666 ). Il affirme, cependant, que les animaux possède des acquis que l’homme ne bénéficie pas et donc, savent faire des choses que l’homme n’est capable de faire : « Je sais bien que les bêtes font beaucoup de chose. »

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