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« La frontière entre le mal et le bien est une frontière fragile »

Publié le 16/08/2012

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Nous pouvons aussi dire que la religion est incrustée dans nos valeurs. Ceci constitue une référence traditionnelle sur le plan des critères du bien et du mal pour la conscience commune. Dans la bible la question du bien et du mal est omniprésente, la religion peut nous aider à réfléchir sur le bien et le mal dans notre choix. Le fidèle d’une confession religieuse voit la loi morale comme une loi sacrée. Toute religion pose pour ses fidèles des interdits et des prescriptions. La conscience religieuse voit dans l’immoralité le péché et dans l’accomplissement du devoir l’obéissance à un commandement divin. La conscience religieuse interprète la question morale en termes d’exigence religieuse pour le salut de l’âme. Pour le fidèle, l’autorité des Ecritures est un critère suprême. Il possède grâce à elle des repères. Consulter les préceptes de sa religion, c’est disposer de critères du bien et du mal. Vivre en homme religieux, c’est aussi essayer d’appliquer des principes à sa vie, ceux du christianisme, de l’islam, du judaïsme etc. La religion est le plus souvent perçue comme une morale.  La religion permet donc de nous poser des limites, d’avoir des certaines valeurs communes, des opinions communes qui permettent de distinguer le bien du mal et la limite de ses deux notions.

« même une limite cependant elle est fragile, mais il existe des facteurs extérieurs qui peuvent nous aider à distinguer le bien du mal.Nous pouvons dire que l'inconscient des hommes à une limite du bien et du mal très fragile, et que l'on n'arrive pas à discerner avec précision le bien du mal, nousavons vu cela avec les sentiments, les pulsions, nos décisions, mais aussi avec l'autre, le mal…C'est pour cela que nous avons besoin de valeurs, de repère pour essayer de distinguer clairement la limite entre le bien et le mal.

On nous inculque donc des valeursà travers l'éducation, la religion, les traditions, la société pour essayer de généraliser la limite entre bien et mal pour qu'on soit justement des limites à travers notreconscience, c'est-à-dire la raison.3.Pour finir nous allons voir que la raison permet de rendre la limite entre le bien et le mal plusdistincte et donc moins fragile nous allons voir ceci grâce à la tradition, à la religion, à la société, et àl'éducation.Pour la plupart des hommes, quand se pose le problème de savoir ce qui est bien ou mal, c'est auprès de la tradition qu'il faut aller chercher refuge.

Ou encore, nousnous rapportons aux moeurs telles qu'ils existent en les considérants comme des normes.

On se fie d'abord à « ce qui se fait » et « ce qui ne se fait pas ».

Il y a descomportements socialement admissibles et ils indiquent le « bien » et des comportements inadmissibles qui indiquent le "mal".

Nous nous servons en cela dujugement commun, du jugement des autres pour décider du bien et du mal.

Dans un cas difficile on allait vers les hommes du passé.

On consultait les anciens duvillage pour leur demander conseil.

Il est en effet important que subsiste un lien et même un courant de sagesse entre la génération ancienne et la génération nouvelle.Parce que les hommes qui ont beaucoup vécu ont davantage d'expérience, ils peuvent éduquer les générations nouvelles.

Leur jugement possède une maturité que n'apas celui de la génération nouvelle, qui est beaucoup plus à la merci de l'actuel.

De la même manière, l'exemple des grands hommes fournit des modèles du comportement à l'égard de ce qui est bien ou mal.

Nous avons dans notre histoire deshéros de la morale, comme Socrate, Rousseau, Sartre, Martin Luther King… Chaque culture possède aussi ses autorités morales.

Nous pouvons nous tourner vers ceshommes illustres pour nous demander ce qu'ils auraient fait à notre place.Par exemple dans le Vicaire savoyard de Rousseau, ce roman nous fait réfléchir sur l'éducation des jeunes, c'est donc un livre de référence, un livre idéologique quipeut nous servir à discerner le mal et le bien.Nous pouvons aussi dire que la religion est incrustée dans nos valeurs.

Ceci constitue une référence traditionnelle sur le plan des critères du bien et du mal pour laconscience commune.

Dans la bible la question du bien et du mal est omniprésente, la religion peut nous aider à réfléchir sur le bien et le mal dans notre choix.

Lefidèle d'une confession religieuse voit la loi morale comme une loi sacrée.

Toute religion pose pour ses fidèles des interdits et des prescriptions.

La consciencereligieuse voit dans l'immoralité le péché et dans l'accomplissement du devoir l'obéissance à un commandement divin.

La conscience religieuse interprète la questionmorale en termes d'exigence religieuse pour le salut de l'âme.

Pour le fidèle, l'autorité des Ecritures est un critère suprême.

Il possède grâce à elle des repères.Consulter les préceptes de sa religion, c'est disposer de critères du bien et du mal.

Vivre en homme religieux, c'est aussi essayer d'appliquer des principes à sa vie,ceux du christianisme, de l'islam, du judaïsme etc.

La religion est le plus souvent perçue comme une morale.La religion permet donc de nous poser des limites, d'avoir des certaines valeurs communes, des opinions communes qui permettent de distinguer le bien du mal et lalimite de ses deux notions.Puis il y a la société qui permet de nous aider à réfléchir sur la limite entre le bien et le mal.La société est régie par des opinions, des idées communes qui permettent de fixer des règles, les lois permettent de discerner d'avantage la différence entre le bien et lemal en se disant ce qui est bien de faire ou pas, si l'action que l'on fait est bien ou pas.En prenant l'exemple de Macbeth de Shakespeare nous pouvons dire qu'au début Macbeth avait quelque frustration à l'idée de tuer son roi Duncan, carhiérarchiquement il été au dessus de lui, et lui devait le respect, notion que la société lui a inculqué.La société permet donc de discerner d'avantage la limite entre le bien et le mal.

Enfin l'éducation est aussi un apprentissage pour mieux savoir discerner la limite entre le bien et le mal.L'éducation des parents mais aussi de l'école permet d'inculquer des valeurs à l'enfant, des règles et donc de réfléchir sur le bien et le mal, et les différents règlesapprissent permettent à l'enfant de se fixer des limites entre le bien et le mal comme dans le vicaire savoyard, rousseau instaure une éducation idéologique pourpermettre de discerner au mieux le bien du mal.Nous avons donc étudié que la limite entre le bien et le mal peut être mieux discerné, et être moins fragile car il y a des facteurs extérieurs à nous qui peuventintervenir dans notre conscience pour nous permettre de mieux distinguer cette frontière.

Nous avons vu cela avec la tradition, la religion, la société, les lois, etl'éducation. Conclusion Nous avons donc essayé de répondre au mieux à la question posé qui était : A quelle condition pouvons nous montrer que la limite entre le bien et le mal et fragile ?Nous avons répondu à cette question en montrant que la limite est fragile si nous nous intéréssons à notre inconscience d'après nos sentiments, nos pulsions, maisaussi que la limite est fragile quand nous sommes en contact avec les autres, avec des âmes fortes, c'est-à-dire ce qui fausse notre jugement.Nous avons donc expliqué que la notion de bien et de mal est très subjectif est donc que sa limite l'est aussi.

Ce qui rend une frontière fragile.Cependant il est possible de rendre cette frontière moins fragile en se basant sur des références des valeurs, pour nous aider à mieux comprendre le bien et le mal telsque la tradition, la religion, les lois, l'éducation… Il n'y a pas de réponse toute faite à la question de savoir où est le bien et où est le mal.

La question du bien et du mal rejette directement chaque homme sur lui-même et met en cause l'usage qu'il fait de sa liberté.

Personne d'autre que nous-mêmes ne peut en juger.

La conscience morale n'est pas une chose dont on puissedéléguer l'autorité.

La décision morale ne s'accomplit pas dans la précipitation et l'impulsion irréfléchie.

Il est nécessaire qu'une réflexion morale soit présente dans lescirconstances de la vie pour guider nos choix.

Nous pouvons trouver autour de nous des indications précieuses, mais il reste que notre situation d'expérience est unique.

Il n'est pas facile de déterminer où est lebien.

Les principes généraux ne recouvrent pas toutes les situations particulières.

Mais il est indispensable de peser nos décisions devant notre propre conscience, carl'inconscience elle-même est l'autorisation donnée au pire.

Pourtant, il y a une chose que nous pouvons peut-être déterminer clairement, c'est le devoir.. »

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