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La justice selon Socrate

Publié le 03/06/2013

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La justice convient autant à l'âme individuelle qu'à la cité tout entière. Selon Socrate, la cité, en d'autres mots, la polytéia ainsi que l'âme, la psychè est facilement représentable par un grand et un petit triangle. Pour ce qui en est de la cité, il y a trois parties découvertes par simple observation : les chefs qui constitue la plus petite partie de la cité représentent les êtres les plus sages et avec le plus de pouvoir, ensuite il y a les artisans qui engendre la plus grosse partie de la cité qui représentent ceux qui ont le moins de pouvoir mais qui sont davantage les plus modérées. Et le dernier sommet du triangle et laissé aux plus courageux, à ceux qui détienne un pouvoir équilibré, les gardiens de la cité. Dans la cité juste, c'est l'individuel qui l'emporte sur le collectif. Pour ce qui en ai de l'âme, chaque sommet du petit triangle est représentés trois partie découvertes par l'expérience de conflit intérieurs qui ne se voit pas à l'oeil nu. Tout d'abord, au sommet de ce triangle on peut retrouver la raison qui est la plus petite partie, par la suite il y a le désir qui est la plus grande partie de l'âme et par la suite la colèr...
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« Voilà pourquoi les richesses et les pouvoirs sont répartis de manière non pas égale, mais plutôt proportionnelle à chacun.

Pour Platon et Socrate, il y a deux mondes ; le monde intelligible, spirituel, c’est-à-dire, le monde des idées qui sont connue par l’intelligence et le monde sensible, donc le monde des choses qui sont perçues par les sens, en d’autres mots, le monde matériel.

Il est facile de constater que l’idéal de Socrate est supérieur à l’opinion simplement réaliste de Thrasymaque puisque, les opinions sont fondés sur des sentiments, ça peut être de la haine, de la jalousie, des préjugés etc…par exemple, si l’on dit « je pense que la race blanche est supérieur à celle des noires.» il est logique que c’est une opinion bête et non une idée fixe.

Or, une idée, c’est une croyance qui est fondée sur une connaissance, la science, le savoir, des réflexions ainsi que des arguments rationnels.

Une idée c’est un modèle éternelle tout comme l’idée que nous avons d’un cercle ; figure géométrique en laquelle tous les points de la circonférence sont à égale distance du centre, tandis que les choses matérielles sont des copies qui sont temporaires et éphémères comme les cercles que nous avons dessinés en classe et que nous avons jugés par la suite.

Selon Socrate, le modèle est toujours plus réel et éternel que la copie matérielle.

Thrasymaque lui, a une vision horizontale des choses, il refuse qu’il y a quelque chose de mieux, il ne croit pas aux idées.

Socrate de son côté, dit « Si tu n’as pas d’objectif, de but ni d’idéal, tu n’iras nul part.» Nous avons tous un idéal, c’est pour cela qu’on fait des études, pour avoir une vie meilleur et qui se rapproche de notre idéal. En conclusion, je pense que les arguments de Socrate concernant la théorie de la caverne permettent de faire sortir Thrasymaque du trou.

Tout d’abord il souligne que les ignorants sont tous semblable à nous, et que le rôle du philosophe (celui qui a réussis à sortir de la caverne, dans ce cas, Socrate) a le rôle de redescendre à l’étape ou il a commencé pour libérer les personnes qui s’y trouvent encore, dans ce cas-ci, Thrasymaque.

Au fond de la caverne se trouve l’ignorant qui est enchainé devants des images irréalistes, il est dans l’ombre et ne connait rien d’autre que les copies des copies auxquelles ils sont exposé à longueur de. »

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